Coups de gueule
La vérité est une pierre
qui manque souvent de cœur.
Pourquoi à votre avis ? Une idée ? Une hypothèse ?
Question : Combien d'étudiants ont été étudiés et testés comme des cobayes pendant leurs thèses ?
Est-ce que faire une thèse est similaire à un entrainement militaire ? Est-ce qu'il faut souffrir pour être un thésard ? Subir ce qu'un chercheur n'image pas encore qu'il devra faire à autrui s'il dépasse la rancœur de ce qu'il aura subi ? Avec les lois de régulation sur les protocoles du consentement, il doit être plus compliqué de choisir de "simples civils", alors pour contourner la loi, vont-ils chercher leurs cobayes parmi les élèves le plus susceptibles : 1) D'être intéressant, 2) d'être suffisamment résilient pour faire la traversée des expériences telle une grande aventure pleine d'apprentissage sur soi (mesure de votre merde, façon dont vous nettoyez vos chiottes, goutte d'urine perdue à tel moment, densité de votre pet, signification de vos émotions, de vos expressions, de vos réactions, etc., avec une escalade dans les tests si : 1) on croit que cela ne vous dérange pas tant que ça parce que votre souffrance reste cachée dans la sidération d'un réseau clinique invisible, qui vous rend fou en même temps que vous apprenez, le cœur accroché à l'espoir d'obtenir un jour un diplôme telle qu'une thèse. 2) pour voir jusqu'à quel niveau vous pouvez grimper (comme dans un jeu vidéo, sauf que ce n'est pas un jeu) ou plutôt pour observer et étudier vos réactions en fonction des différentes réalités créés spécialement pour vous (conditions selon la météo extérieure, selon vos humeurs et celles de vos voisins sélectionnés pour vous "à votre insu" bien sûr !" et le tout, soit au naturel soit provoqué par divers drogues + divers effets spéciaux très utiles pour celui qui prépare une thèse sur la démonologie... Le cobaye humain va-t-il y croire ou pas ? Va-t-il croire que le phénomène est naturel ou vont-ils lui faire croire que c'est lui qui a des hallucinations ?)
"Ah, la recherche..., quand tu nous tiens, il est difficile de te faire lâcher prise, tu deviens tel un ex possessif, qui a envi de faire joujou avec son petit cobaye !"
Et que se passe-t-il pour l'étudiant qui perd pied et ne peut plus sauver son psychisme via la radeau de sa thèse ? Il se suicide ? Combien d'élèves se sont suicidés non pas à cause de la pression de leur thèse, mais plutôt de la pression de ceux qui l'étudient pendant sa thèse ?
Celui qui réussi à s'endurcir, qui s'accroche jusqu'au bout car il ne veut pas avoir fait tout ça pour rien, alors réussira peut-être sa thèse, mais après, lorsqu'à son tour, il deviendra directeur de recherche ? Est-ce que c'est ça diriger la recherche d'un élève ? C'est regarder seconde après seconde ce qu'il écrit, ce qu'il efface, ce qu'il réécrit ? C'est user d'images subliminales, d'ultrasons, de drogues, de scénarios toc-toc et de manipulations psychologiques et sociales pour vérifier les variables dépendantes et indépendantes pour le pouvoir du savoir ? C'est faire en sorte qu'il choisisse entre réussir coûte que coûte malgré les humiliations subies ou passer pour un étudiant qui a une maladie psychiatrique due à des séquelles de ça ou ça ? C'est ça la direction de recherche ? Marche ou crève à la Stéphane King ?
Il y a peut-être une raison à tout ça qui nous dépasse...
Mais je réalise que la recherche est parfois à la limite de l'éthique et qu'elle est même capable de la dépasser et tout ça au nom du bien. Sacrifier quelques rats pour en sauver des millions, est-ce glorifiant quand on sait ce que les quelques uns ont vécu ? Exemple : Une étude en Suisse prend deux groupes de personnes qui ont des symptômes qui laissent penser à un début de maladie d'Alzheimer mais ce n'est pas Alzheimer. À un groupe, l'équipe dit qu'ils ont la maladie d'Alzheimer, à l'autre groupe qu'ils n'ont rien. Tout ceux à qui on a dit qu'ils étaient malades ont vu leurs capacités cérébrales se dégrader et décliner jusqu'à avoir la maladie alors que les autres non. Donc Ok, cela nous apprend que la croyance et la suggestion ont une influence sur le psychisme et que la théorie impacte la pratique, etc., mais le groupe testé aurait pu voir leur état s'améliorer.
Je n'accepte pas cette partie de la recherche, c'est une question d'éthique à mes yeux.