16- La surveillance est-elle une nécessité ou une perversion ?
Il y a de multiples raisons de surveiller une personne ou un lieu : pour protéger des gens et des biens, pour dissuader des malfaiteurs de mal agir, pour détecter et contrôler un problème, pour visualiser des indices ou des témoins, mais aussi, pour récolter ou voler des données personnelles, par intention d'aider autrui ou par voyeurisme, sur ordre officiel ou par perversité, par jalousie ou par sociopathie, pour une enquête policière ou pour une expérience.
Qui espionne qui ?
Les parents surveillent leurs enfants, par peur de l'accident ou de la maladie, car ils ne veulent pas que les petits souffrent. Les spécialistes surveillent la météo pour anticiper une catastrophe naturelle (une tempête, une inondation, une sècheresse) afin de prendre les dispositions contre toutes situations dommageables. Les observatoires politiques et sociaux surveillent les manifestations et les mécontentements pour gérer les crises tels les mouvements de foules en cas de mécontentement ou de rébellions contre le système. Les organismes de santé surveillent les virus et les bactéries, les gens malades et ceux qui sont en rémission pour prendre soin de la santé autant que possible. La criminologie surveille la délinquance, le crime et les victimes. Et puis, il y a des centres de recherches qui surveillent des objets d'étude, pour faire avancer la science, pour mieux comprendre l'humain, mais toutes les expériences ne sont pas officielles, car pour raisons d'éthiques, certaines sont interdites. Alors soit quelques-unes sont faites "en cachette", soit couvertes du secret-défense, ce qui peut avoir bon dos dans certains cas. Le secret défense ne veut pas dire que le cobaye est un danger pour la société, mais que les expériences effectuées sur le cobaye ne seraient pas toutes approuvées par la société si elle le savait.
Exemple ? Si quelqu'un décide de faire une thèse en démonologie (oui, oui, une thèse sur les démons), comment fait-il pour vérifier les hypothèses et répéter les variables ? Comment fait-il pour vérifier ce qui est naturel ou provoqué ? Il agit seul ou avec un réseau clinique derrière ? Et qu'est-ce qui est utilisé pour vérifier les croyances des sujets d'étude aux phénomènes paranormaux (naturels et provoqués) ? Hologramme ? Effets spéciaux ? Est-ce que la population accepterait de savoir qu'au nom d'une expérience (sur Dieu ?) ou pour vérifier si la personne est une vraie médium, la peur est utilisée contre une personne qui n'est plus une personne, mais un objet d'étude ? Le risque que la réponse soit non est trop grand. Résultat : C'est le genre de thèse qui doit rester de l'ordre des expériences secrètes.
Ah oui, aussi : Tout être qui chercherait un peu trop la vérité prend le risque de devenir un objet d'étude, ainsi, la surveillance n'est plus par un ex ou par un policier, mais carrément par un réseau clinique, sous couvert de la recherche. Il parait que l'on ne peut rien y faire, que c'est à vie. Comment arrêter ce type de surveillances ? Si elle est légale et secrète, ça semble compliqué. Mais l'espoir fait vivre non ? Déjà, il faut comprendre le système. La recherche, c'est comme les gens, il y a celle qui est bonne et celle qui est anesthésiée contre les émotions d'autrui. Il y a l'individu et il y a le collectif. Il y a les citoyens et l'État et il y a les organisations de type mafieux qui gouvernent et mentent.
Si on espère une quelconque justice, équité, liberté, égalité et fraternité dans notre cher pays républicain, il faut non seulement comprendre son système, mais aussi différencier ses façons d'opérer, à tous ses niveaux.
SI LA SURVEILLANCE EST UNE PRÉVENTION, ELLE N'EST PAS UNE PROTECTION.
Comment savoir si quelqu'un vous espionne ? Reconnaitre le mode opératoire.
Lorsqu'un individu surveille son conjoint pour vérifier sa fidélité ou son ex, afin de s'assurer qu'il n'a pas refait sa vie, c'est une atteinte à la vie privée de la personne, un harcèlement invisible si la personne ne le sait pas. Quand le harceleur fait savoir par des mots, une parole ou un geste sous-jacent, qu'il connait une information privée qu'il n'est pas censé savoir, c'est de la violence psychologique ayant pour but de déstabiliser l'autre et de le soumettre en lui montrant qu'il est supérieur. Si la personne n'a jamais vécu ça auparavant, si elle est naïve ou croyante en un monde spirituel, elle peut penser qu'il s'agit d'une coïncidence mystérieuse ou carrément se retrouver en état de sidération devant une révélation impossible à croire. Si la victime est chez elle, seule, qu'elle fait quelque chose de particulier et que l'autre lui dit ce qu'elle vient de faire sans le lui dire directement, c'est une atteinte à la dignité, à l'intimité, à l'intégrité physique et psychologique de la personne.
Témoignages :
1) 2008. Je suis sous ma douche et je fais une toilette intime avec douche vaginale. Une demi-heure plus tard, la personne avec qui je discute me dit qu'elle connait quelqu'un qui lorsqu'elle se lave fait une douche vaginale. J'ai la sensation qu'il sait, mais je n'ai rien vu qui le laisse penser et je ne veux pas accuser sans preuve. Pourtant, trois ans plus tard, il m'enverra la vidéo de ce moment sous la douche et là, la preuve est concrète, mais pas pénale, si je ne peux pas prouver que je suis moi par une marque spécifique. Le harceleur garde donc le pouvoir. Il peut diffuser la vidéo sur tous les sites qu'il veut, car même si je me reconnais et que tout le monde me reconnait, si on ne voit pas un grain de beauté ou un tatouage, je ne pourrais pas l'en empêcher. Il y a désormais une loi "si on me reconnait pénalement" obligeant le diffuseur à prouver que la personne était consentante. Mais avant 2016, vous pouviez aller à la police avec la preuve du crime psychologique, le policier vous disait simplement "Oui, il n'avait pas le droit de faire ça, mais qu'est-ce qui nous prouve que vous n'étiez pas consentante ?"
2) 2015. Je rencontre un homme qui semble extrêmement porté sur l'hygiène, chose que je ne savais pas avant ce fameux jour. Tout le monde ne peut pas se laver deux fois par jour, car la sensibilité de chacun à la javel dans l'eau selon les lieux ou aux produits à base de savon n'est pas supportable de la même manière. Il insiste pour que je passe à la salle de bain. Difficile de résister à cette forme d'emprise sans passer pour une malpropre. Je vais donc à la salle de bain, je fais couler l'eau de la douche, en prends dans ma main et me passe un coup sur le visage, par-ci, par-là, sans entrer dans le bac à douche. Quand je sors de la salle de bain, l'homme me questionne. Trop. Il pense que je n'ai pas pris de douche, que j'ai été trop vite. "Tu n'as quand même pas fait semblant de faire couler l'eau ?" Il ne pouvait pas le savoir. Je suis quelqu'un qui n'a pas de fortes odeurs, j'étais propre du matin et surtout, je m'étais mouillé un peu les cheveux, tout en laissant l'eau de la douche couler. Il ne pouvait pas le savoir, à moins que "J" ait fait la même chose que "H". Ils avaient le même mode opératoire à ce sujet. 7 ans s'étaient écoulés et je retombais sur le même type de personne. Comme avec "H", je restais sans voix et toujours incapable de l'accuser sans preuve. Et comme avec "H", mais en plus rapide, je réaliserais trois mois plus tard de quoi il était capable, lorsque sur le montage vidéo d'une série de photos pour une action humanitaire, il mit la voix d'une femme en train de gémir lors d'un acte sexuel sur une femme représentant une maternité pour un accouchement. Il reconnaitra avoir prit la voix d'une femme sur un site porno, mais c'est bien ma voix qu'il aura enregistrée à mon insu.
3) 2011. Je suis en mode parano, car H est passé en mode harceleur visible après m'avoir envoyé la vidéo. Je l'ai aussi vu avec une paire de jumelle devant les yeux, face à la fenêtre de ma chambre, la voiture arrêtée dans la montée d'une ruelle en face. Il m'espionnait littéralement. Avec ses menaces de diffusion massive de la vidéo de la douche + celles qu'il aurait aussi fait de nos ébats trois ans plus tôt, ses menaces de mort sur le garçon que j'avais rencontré et sur moi-même, comment ne pas être déstabilisée psychologiquement ?
4) 2013. Deux ans après, j'étais toujours sur mes gardes. Je me sentais encore espionnée. L'impression que quelqu'un parlait de moi, à moi, mais cette fois-ci, sur ma page Facebook. Sur mon blog aussi, les liens des visiteurs m'amenaient sur des sites peu recommandables qui n'avaient aucun intérêt à visiter un petit blog comme le mien. C'est là que j'ai décidé de me créer un nouveau compte. Mais était-ce lui ou avait-il envoyé quelqu'un ? Il m'avait dit qu'il pouvait le faire. Sur une impulsion, j'ai décidé d'y aller en mode provocation. Seule chez moi, je me suis mise à crier sur mon ordinateur et à le traiter de "connard". En apparence, ça fait un peu schizophrénique sur les bords, mais comme de toute façon H avait dit aux gens que je connaissais que je l'étais quand j'ai commencé à dénoncer ces agissements, il n'y avait que moi-même pour me juger, en cet instant précis. "CONNAAARD ! Viens sur le terrain si tu as des couilles ! Viens en face de moi ! CONNARRRD !"
Quelque temps plus tard, je décide de faire une petite formation pôle emploi pour faire un petit bilan de compétences et voir vers quoi je pourrais me diriger. Un homme, "M" chercha le contact et me dit en dépendance rapidement. Je me vois chez lui, dans un flou irréel et je réponds à toutes les questions qu'il me pose, comme, par exemple, le fait d'avoir déjà vécu ce que je suis en train de vivre : être avec une personne, ne pas boire d'alcool, même pas fumer, mais rire sans arrêt et dire toute la vérité à toutes les questions qu'on me pose. En me raccompagnant, un bout de chemin, sur la route, "M", soudainement me raconte qu'un jour, il était tranquillement en train de jouer aux cartes avec des collègues quand d'un coup une nana s'est mise à l'insulter de connard. - Ah bon pourquoi ? lui demandais-je - je ne sais pas. Comme ça, elle m'a hurlé dessus que j'étais un connard.
D'un coup, le doute à nouveau. Merde... C'est lui le connard ? Ce n'est pas H, mais M ? Cela n'a peut-être rien à voir... Je ne dis rien de plus et lui non plus. D'ailleurs c'est surement ça le problème, c'est le non-dit. Qui était cet homme et s'il m'espionnait, pourquoi ? Était-ce H. qui l'avait envoyé pour me tuer ? Il m'avait dit que s'il ne pouvait pas le faire lui-même, il pouvait envoyer quelqu'un ou changer son visage ! Mais il se passa autre chose qui s'ajouta au doute déjà existant. "M" me proposa de regarder une série de films. Parmi eux, celui sur l'assassinat de Kennedy. À la fin du film, il y avait une phrase qui disait "Si vous avez besoin d'aide, on peut vous aider". Punaise, j'hallucine ou quoi ? C'est quoi cette phrase ? Je lui demande s'il a vu la phrase. Il me répond oui. Je lui redemande pour être sûre que l'on parle bien de la même. Je veux savoir si la phrase fait partie du film ou pas ? Je lui repose la question. Et il me répond oui. Donc, la phrase n'avait pas été ajoutée et il n'était pas quelqu'un qui voulait m'aider, du moins, je ne pouvais que l'interpréter de cette façon.
Ce qui est vraiment con dans cette histoire, c'est que si cette personne était un policier et que cette fille avait vraiment besoin d'aide, alors le manque de communication n'aura aidé ni l'un ni l'autre. Tout le monde n'a pas fait les mêmes études. Tout le monde n'a pas le même type de connaissances ni la même façon de comprendre les évènements. La question est : pourquoi une fille qui se fait harceler par un ex-conjoint qui l'a espionné des mois durant, qui pose deux mains-courantes contre lui, qui se rend au commissariat plusieurs fois pour leur dire qu'il l'a menacé, se ferait espionner par un policier ? Si la police veut aider une victime de harcèlement, la moindre des choses est de la prévenir non ? C'est, avec elle, d'envisager une mise sur écoute ou un logiciel permettant de savoir qui l'espionne, quelque chose qui puisse tracer le traqueur. Si le policier ne dit rien, alors soit il est vraiment con et n'a rien compris à la victimologie, soit il la suspecte de je ne sais quoi et de victime elle devient coupable d'avoir été se plaindre. À moins que ce soit "H" qui est mis la suspicion sur elle comme il l'avait fait déjà en la dénonçant à la CAF qui vint la contrôler, parce que pour le fuir, elle avait quitté son logement plus d'un mois et laissé sa voiture au même endroit plus de 10 jours. Mais il est aussi possible que "M" était un ami ou un membre de la famille de "H" et qu'il ait décidé de l'aider à poursuivre la persécution. Alors qui était réellement M ? Les personnes qu'il lui présenta lui apportèrent plus de problèmes qu'ils ne l'aidèrent. Et ce n'est que 10 ans plus tard qu'elle réalisa qu'il s'agissait d'un réseau organisé, clinique qui semblait avoir un objectif bien précis, mais lequel, elle ne le savait pas ni ne l'imaginait encore.
4) 2016. Je rencontre "D", un gendarme de la PJ en BlaBlaCar. Le contact passe bien. Je me dis qu'il y a possibilité d'apprendre des choses, car la criminologie m'intéresse et j'ai démarré des cours. On échange nos numéros, mais il passe rapidement en mode harcèlement. Je passais le week-end chez un ami et il me bombarda de messages tout le week-end, chaque heure, chaque demi-heure. Je n'osais pas l'envoyer paître gentiment étant donné que nous venions de faire connaissance et qu'en plus il était un gendarme ! Au troisième jour, j'avais à peine la clé dans la porte, encore le manteau sur le dos, qu'il me téléphonait. C'était trop. Il accepta de me laisser tranquille quand j'insistais sur le fait d'avoir quelque chose à faire, mais dès que j'arrêtais ce que je faisais, il était là, comme s'il savait quand j'arrivais, quand je me réveillais, quand je me levais. Je finis par jeter le téléphone sur la table en le traitant de connard parce que je n'en pouvais plus de sa lourdeur, de cette oppression en quelques jours de temps. Là, il m'envoya un SMS du tac au tac en m'écrivant : "Et maintenant tu m'insultes de connard". Le salaud m'espionnait. Je ne pouvais que reconnaitre ce mode opératoire. J'étais seule chez moi. Il n'y a que mes plantes qui pouvaient avoir entendu le mot "connard" que je venais de prononcer. Je finis par lui faire la liste des faits en lui rappelant les articles de loi, y compris également le fait d'avoir mis la main sur ma cuisse sans mon consentement dans la voiture, alors qu'on ne se connaissait pas si ce n'est que par les conversations que nous avons eues lors du BlaBlaCar aller et retour. J'ai croisé le regard à ce moment de l'autre passagère à l'arrière. Il a dû sentir qu'il avait été trop loin, car il s'est excusé et m'a juste demandé une dernière discussion avant de me laisser tranquille. Il m'a conseillé d'arrêter mes études en me disant qu'il y avait un gros dossier sur le directeur de l'école, que la PJ était dessus, qu'ils allaient le faire tomber.. Je démarre quand même mes cours dans cet institut en demandant au passage à quelqu'un de bien vouloir vérifier l'information, car "on ne sait jamais". Mais, il semble que cela n'était pas le cas. Je poursuis mes cours.
2017. Je fais un stage d'analyse comportementale. Nous sommes testés sur différents scénarios. Lors d'une pause, une élève me transmet une information sur un ami à elle "A" qui me semble suspect. J'attends jusqu'à la fin d'être seule avec le responsable pour lui en parler. Là, il me demande ce qu'il doit faire de ça ? - Eh bien, vous faites partie du FBI, non ? - Non, il ne s'agissait que de stages. - OK, mais cela concerne une de vos élèves. Le prof semble n'en avoir rien à faire. Le lendemain, aux informations, un homme portant le même prénom "A" aurait tenté de tuer des gens. Merde... puis, dans la foulée, je vois une information m'annonçant que, pour non-dénonciation de "A" c'est 3 mois de prison ferme. Au début, je ne pense même pas que cela m'est adressé. Cela ne peut que faire partie du hasard. Je continue mes cours.
2018. Je remarque des évènements bizarres, des liens entre les évènements de ma vie et ce que je lis sur Facebook ou vois aux informations. Je peins de grandes vagues bleues et un groupe de musiciens reçoit des vagues sur lui en plein concert. Je passe mon pied dans la trappe du chat en voulant ouvrir la porte, et quelques heures après apparait dans mon flux d'actualité le dessin d'une personne manquant de se casser la figure parce qu'il a passé le pied dans la trappe du chat en voulant ouvrir la porte avec son pied. Je vais en cure thermale et me prend la tête 5 secondes avec un autre handicapé pour une cabine de douche et apparait plus tard une information sur une dispute entre deux handicapés pour une place de parking. Je fais une petite chorégraphie particulière sous l'eau et apparait une vidéo de la chorégraphie d'une nageuse décédée qui ressemble fortement à la mienne ! Etc., Etc. ! Alors si quelques fois, c'était marrant, à d'autres moments cela l'était moins. Je fais toujours mes cours.
2019. "Mon prof" me propose un petit job dans un centre de recherche en me disant que j'aurais juste à aller faire ce que je sais faire le mieux, poser des questions. Une semaine après, on m'annonce qu'il est incarcéré et lui me dit qu'il est tombé dans un guet happen judiciaire. Sauf qu'à partir de là, c'est moi qui me suis sentie espionnée H24, par chaque locataire ayant emménagé après moi ainsi que par mon prof lui-même (où par celui usant d'un logiciel pour imiter sa voix) qui semblait tout savoir depuis sa "prison". Quand j'ai découvert sa signature psychologique et la préparation de son plan 3 ans au moins avant les faits, cela a dû poser problème soit à lui soit à ceux qui lui imposent un scénario de vie qu'il n'a pas choisi. Je vais le voir au parloir. Je passe la nuit à l'hôtel. Des bruits de pas se font entendre et je sens une piqûre derrière l'omoplate, puis je me réveille en sentant quelque chose dans mon œil gauche. À partir de là, on me fit clairement comprendre que l'on voyait tout ce que je voyais et que n'importe quelle information pouvait se désinformer. Si je vais chercher des documents pour mon prof chez l'avocat et que je fais des photos de documents pour mener l'enquête), je venais peut-être de sortir d'un commissariat avec des informations. Si je parle à un SDF, j'aurais peut-être parlé à un terroriste. Mon voisin, sur demande de mon propriétaire, stocke quelques bouteilles de gaz vide dans une des dépendances inutilisées de la maison ? Peut-être que j'aurais participé à un acte criminel. C'est clair, à partir de cet instant, on a essayé de me piéger de tous les côtés en me montrant que tout pouvait être utilisé contre moi.
Je sentais bien en parallèle que j'apprenais. Il est vrai que j'avais dit en messagerie privée à une dame cherchant des personnes pour faire des conférences que je ne pouvais que parler de mon vécu (en tout cas, à cette époque c'est comme ça que je voyais les choses), mais je n'admets pas que l'on me fasse souffrir pour que je puisse en parler ensuite. Sous prétexte de m'apprendre la formation que j'avais demandée, on a fait de moi un cobaye, un sujet d'étude sans m'expliquer avant comment cela allait se passer. Mon prof m'a menti. Il avait dit en 2016 qu'une affaire "croustillante" se préparait et que pour une fois il ne se préoccuperait pas de la personne d'en face. Je n'y ai pas cru parce que je connaissais son humanité, son désir de réduire les souffrances par tous les moyens possibles,. Est-ce que pour devenir meilleur dans son art, il n'aurait pas hésité à faire souffrir autrui afin de devenir un meilleur scientifique comportementaliste ? À moins que ce ne soit un jumeau ou quelqu'un ayant usurpé son identité ?. Soit il me ment ouvertement, soit il ne peut pas dire la vérité et lui comme ceux venus m'entourer pour bloquer toutes transmissions/informations de ma part préfèrent me faire passer pour la parano, la psychotique maniaco-dépressive pour me décrédibiliser ou pour m'empêcher de l'aider. Alors, est-ce que pour combattre le crime organisé, il faut faire partie d'une équipe organisée aussi ? Est-ce que pour m'apprendre, il fallait faire aller encore plus loin dans l'escalade pour que je sache qu'il y a pire qu'un ex qui me filme durant quelques heures, comme les centres de recherches, qui eux, te filment 24h/24 ? C'est la fameuse prison de souffrances légales qui durent 4 ans ? Ou 7 pour les rares cobayes capables de déceler la manipulation mentale et les créations de différentes réalités superposées pour tester la psychologie des cobayes ? Et il y en a qui subissent ça toute leur vie. Pas officiellement, car avec les règles d'éthique, c'est interdit. Mais de manières officieuses ou sous couvert de secret défense, combien de citoyens qui sortent un peu de l'ordinaire sont testés comme des rats de laboratoires ?
2022. Il semble que des personnes de mon passé cette fois-ci m'espionnent à leur tour. Soit elles sont venues par vengeance parce que je les ai dénoncées dans des confidences écrites à mon prof, soit ce sont des personnes qui leur ressemblent et cela fait partie de l'expérience où sont imposées au cobaye des variables provoquées en lien avec le regrettable sujet d'étude de ma thèse : "L'effet miroir". Soit, c'est le centre de recherche qui, pour détourner l'attention, a appelé des gens de mon passé pour qu'ils viennent aider la fille persécutée, faisant d'eux les persécuteurs, sans qu'ils ne le sachent. Mon prof semblait obnubilé par la reconstruction familiale. Est-ce pour étudier l'effet transgénérationnel et l'impact familial ? Problème au bout de plusieurs semaines/mois, c'est que si ces personnes m'espionnent dans le but de m'aider, ils pensent maintenant que j'ai un Alzheimer ou autre maladie psy puisque pour eux, personne ne m'espionne. Ben oui, ceux qui sont au-dessus savent lever le pied quand c'est nécessaire. Si on lit et écoute toutes mes plaintes des quatre dernières années et qu'en regardant à la cinquième année on ne voit rien, on peut penser que je ne suis pas espionnée alors qu'en réalité, je le suis toujours, mais cette fois-ci, par ceux qui pensent m'aider, mais qui en rajoutent à partir du moment où je suis la seule qui n’est pas informée de ce qu'il se passe.
2023. Ceux qui m'entourent depuis mon arrivée sont en lien avec les gens qui m'ont entouré en 2013. Je me demande s'ils ne sont pas un genre de mafia qui veulent t'imposer de faire parti des leurs sans te demander si tu d'accord auparavant. Et si tu résistes malgré les années qui passent, alors, ils te montrent qu'ils peuvent impliquer des membres de ta famille. "Crimes organisés" faisait partie des options choisies pour mon bachelor. J'ai appris qu'une école pouvait être criminelle aussi dans sa façon d'agir. La prison légale du renseignement est l'école du crime. On parle de pays africains où des gens sont enrôlés de forces dans l'armée, mais en France aussi des gens sont enrôlés de force. Ils choisissent des personnes qui le voulaient au départ, mais ils font ensuite de l'élève une proie qui pourra être utilisée et si l'élève, majeure, tente de s'en plaindre, ils trouveront des informations datant d'il y a 20 ou 30 ans s'il faut, prises hors contexte, qui n'avaient rien à voir, mais où par exemple, vous disiez en préface d'un livre écrit (jamais publié) avec une psy, que vous aviez envie d'être lue et étudiée. Je parlais de ce livre qui date de plus de 20 ans en arrière, mais si demain j'explique que je suis manipulée, testée, épiée, depuis plus de 20 ans, ils diront peut-être que c'est moi qui l'ai voulu."
Demandez-vous pourquoi il y a autant de films ou livres "au suspens insoutenable" ? Sous couvert clinique, certaines personnes sont poussées au-delà de leurs limites en tant que sujets d'étude psy, mais comme cela sera transformé en film ou en livre, ils diront que la personne à une grande imagination ou que c'était pour du cinéma. Il est plus qu'évident qu'ils savent brouiller les pistes. Comment ne pas avoir l'esprit embrouillé quant ils font tout pour ça ?
Si je pensais qu'un peu de surveillance pouvait protéger, je constate que trop de surveillance tue la liberté de penser.