
27- Par le pouvoir du crâne ancestral, que les forces sociales soient avec mon esprit !
Lorsque l'on croit au progrès
sous toutes ses formes les plus positives,
l'espoir en conscience se mobilise
pour transmettre ses connaissances.
Si les forces du mal
sont capables de manipuler pour détruire,
il existe des forces du bien
qui peuvent manipuler pour guérir et améliorer
les conditions humaines et terrestres.
J'ai écouté un cours de sociologie sur les forces sociales et je n'ai rien compris. La tournure des phrases de l'enseignant ne permettent pas à tous les membres de la société de comprendre les lois de ces forces. Du moin, c'est ainsi que je le ressens. Je suis peut-être la seule à ne rien comprendre. Je vais donc essayer de traduire la pensée de ce prof.
En gros, il dit que tout force (selon la logique sociale) provient d'un concours central et que cela signifie que leur théorie statique consiste à fixer les lois de ce concours. Quelle phrase compliquée !
Alors pour commencer, moi, j'ai toujours appris que quelqu'un qui est statique, c'est quelqu'un qui ne bouge plus. On utilise le même mot pour parler de l'électricité statique et là, on sent bien que ça bouge quand on la ressent qui picote partout en enlevant un pull, par exemple. On peut peut-être alors parler d'un mouvement sur place, d'un mouvement en équilibre, qui peut bouger, mais qui n'avance pas, donc considéré comme nul, même s'il a une force qui nous chatouille la peau. En clair, ce que je comprends, c'est que l'électricité statique du pull reste sur le pull et ne va pas se balader à l'autre bout de la pièce, idem avec celle de mes cheveux qui reste sur ma tête. C'est peut-être d'ailleurs le seul moment où je pourrais compter le nombre de mes cheveux, lorsqu'ils sont debout en équilibre sur mon crâne, mais qu'ils y restent accrochés.
Mais d'où vient la force qui maintient mes cheveux en l'air ? Elle vient de mon bonnet ou plutôt de la laine qui la compose. Et son mouvement de force est le fait que je l'enlève après qu'il ait frotté ma tête. C'est tout un mécanisme statique ! Mais ! Si tous les humains ont de l'électricité en eux, tous les cheveux des humains ne vont pas se dresser sur la tête après avoir retiré un bonnet et même parmi ceux dont les cheveux se lèvent, il y a les cheveux qui se dresseront d'un degré, d'autres de 10 cm. On peut donc en déduire que tous les cheveux convergent vers la possibilité de se dresser, mais qu'il y a une inégalité entre les cheveux et leur emplacement. De plus, cette force dont l'existence n'est plus à prouver est trinitaire par sa force signataire (les signes sont les différents matériaux : cheveux + laine), sa force manipulatoire (réflexion de l'intellect) et sa force consciente (morale utilitaire).
Si on pouvait inventer un système pour tirer partie de cette force, ce serait bien. Exemple : On récupère dans les salons de coiffure, les cheveux qui ne peuvent pas être réutilisés pour les perruques et on fait pareil avec la laine des moutons, on met ça dans une boite rotative pour entrainer une friction régulière et constante qui, lorsqu'on appuierait sur un bouton, accélèrerait et produirait l'électricité qu'on a besoin. Eurêka !
Oui, mais non, car des personnes risqueraient de vouloir multiplier de forces des moutons pour leur laine et le mécanisme pourrait être approprié par des trop riches qui feraient encore plus d'économies au détriment des plus pauvres. Ce mode opératoire serait puissant, mais pas harmonieux. L'appareillage ne serait pas accessible en nombre à tout le monde. Les restes de cheveux. c'était une bonne idée, mais pas la laine des moutons. Heureusement que ma force intellectuelle et ma force morale sont là. Deux sources naturelles doivent être prises en compte : le nombre et la richesse. Pour les cheveux, c'est facile : ça pousse partout sur terre, sur quasiment toutes les têtes et même quand on les coupe ça repousse. La laine des moutons aussi, certains vont me dire. Sauf que les moutons ne peuvent pas se plaindre devant un tribunal pour toutes les blessures qui lui seront infligées par ceux qui pensent rendement et non qualité. Pour l'humain, le coiffeur fera attention de ne pas lui entailler la peau, alors que pour l'animal, beaucoup souffrent de ces tontes rapides. La puissance de ma conscience commandent de ne pas prendre le risque que les moutons souffrent à cause de mon invention mais la puissance de mon intellect détermine ma volonté de continuer à chercher une solution pour produire de l'énergie qui coûtera moins cher au peuple. Par exemple, j'ai pensé à trouver un système de câble avec capteurs qui s'installerait autour des fenêtres pour récupérer l'été la chaleur du soleil qui rend les carreaux brulants et soit la convertir en clim, soit en électricité et l'hiver, récupérer l'énergie du froid pour en faire du chauffage. On pourrait tous avoir des genres de panneaux solaires par le biais des fenêtres de notre maison. Ils seraient ainsi transparents, coûteraient moins cher à la société et aux gens, s'installeraient plus vite, et demanderaient peu de matériel pour de grandes forces, ce qui serait une économie écologique non négligeable ! Le système serait moins tyrannique que celui dont disposent ceux qui détiennent les matériaux inaccessibles aux citoyens fautes de pouvoir monétaire.
Moralité : On peut concevoir une excellente idée pour produire de l'électricité naturellement, la fabriquer, mais si la réflexion n'est pas là, alors les 3/4 de la population ne pourront pas y accéder et resteront en précarité énergétique faute d'argent. Il y a bien la motivation de changer les choses avec ceux qui ont les idées , ceux qui disent comment faire et ceux qui font, mais encore faut-il que l'intérêt général soit compris par tous pour en appliquer l'idée, ici, faire des fenêtres de nos maisons des fenêtres solaires, afin que chacun puisse être alimenté naturellement en énergie. L'électricité nucléaire ne viendrait qu'en renfort pour les gros consommateurs.