Philopappos et le rocher en pleurs 

Moïse, la muse où le mythe de Râ

La colline des Muses est également nommée colline de Philopappos. En Grec, Pappos signifie "grand-père" ; "philo" veut dire "aimer". La logique fait que Philopappos serait l'ancêtre de l'amour. Et j'ai de suite un flash souvenir avec "le rocher des amoureux" en Bretagne, en France. En tout cas, si j'ai bien compris, les Muses étaient des philosophes, et si "la colline des muses" a été appelée ainsi, c'est parce qu'elle est dédiée au poète et prophète Musaeus. Prophète du musée ? Euh... Allons chercher ! Musaus en arabe se dit Mūsā et Mūsā c'est Moïse, considéré comme l'un des plus grands prophètes et messagers de Dieu, avec Noé, Abraham, Jésus et Mohamed. Donc, Moïse la grande Muse, était un écrivain, inspiré comme un philosophe parce qu'il aimait la sagesse divine. Il est l'auteur du Pentateuque, les cinq premiers livres de la Bible qui constituent la Torah juive et qui sont appelés la "Loi de Moïse" dans les religions du Monothéisme. Musaeus est considéré comme un médiateur et un législateur entre Dieu et les humains ; je suppose entre les rois et les citoyens également. Son esprit avait le savoir de la connaissance. Il dictait des instructions claires et pratiques et transmettre le but de l'existence aux humains.

La colline de Philopappos (grec : Φιλοπάππου) est une colline d'Athènes, en Grèce. Elle doit son nom au fils du roi Mithridate VI de Pont, tué lors d'une bataille contre les Romains près d'Athènes en 88 av. J.-C., et dont la tombe se trouvait au sommet de cette colline.  

Mithridate... Ce nom est aussi celui d'un réseau de résistance fondé par Pierre Herbinger durant la seconde Guerre Mondiale, en juin 1940.

La mithridatisation est utilisé pour désensibiliser à un allergène. L'origine de la légende trouve sa source avec le "roi du Pont qui craignant pour sa vie et qui s'est immunisé en absorbant régulièrement des doses infimes de ce poison. Quelque part, il est l'ancêtre de l'homéopathie...

Le nom Mithridate dérive du dieu-soleil Mithra. Par la mythologie persane et la racine da qui veut dire donner, Mithridate signifie "donner par Mithra". Mithra était le "garant des contrat", le dieu du serment. 

Mithra est 

« le garant de la fides, de l'accord qui consacre l'ordre du monde et de la société, c'est-à-dire aussi bien les rapports entre les dieux et les hommes que des hommes entre eux » (( Turcan 2004, p. 12.)).

c'est une divinité solaire du panthéon mazdéen, le « Dieu du lever du Soleil, de la victoire de la lumière sur les ténèbres, de la vie sur la mort » ; « (…) dans sa forme gréco-romaine, Mithra apparaît comme un cosmocrator (responsable du cosmos), garant du mouvement des astres et en premier lieu du Soleil (…)((Will 1990, p. 432.)). ». Il est aussi protecteur du troupeau de ceux qui défendent leur territoire et donc des soldats. Ce n'est vraiment qu'à la fin du IIIe siècle ap. J.-C. qu'il y a un syncrétisme entre Mithra et Sol Invictus : les deux ne font alors plus qu'un.

"Après la création du Monde, Saturne prend le pouvoir, avant d'être détrôné par son fils Jupiter. S'ensuit un conflit entre partisans des deux grands dieux, qui se conclut par le triomphe du fils. L'ordre est rétabli dans l'Univers. Cela dure jusqu'à ce que Phaéton emprunte le char solaire à son père Sol, le Soleil. Il en perd le contrôle, ce qui entraîne la dévastation du Monde. C'est alors qu'apparaît Mithra : il naît d'une roche (pétrogenèse), et fait jaillir une source d'eau, ce qui permet à la nature d'entamer sa renaissance. Afin de compléter la régénération du monde, Mithra doit capturer un Taureau fabuleux, troisième acte du cycle mythologique. Après la poursuite et la maîtrise du Taureau, le dieu l'emporte dans une caverne où il le met à mort. Ce sacrifice, et notamment le sang et le sperme de l'animal, permettent de nourrir la nature, l'ordre cosmique est rétabli. Le dernier acte du mythe est un conflit entre Mithra et Sol, provoqué par la jalousie du second face au succès du premier. Mithra triomphe, Sol reconnaît sa suprématie et lui fait allégeance. Un banquet scelle leur réconciliation. Mithra prend alors le titre de « Soleil invincible », sol invictus. Ce mythe, qui s'inscrit dans l'histoire du monde telle que la relate la mythologie traditionnelle, y intègre Mithra pour l'élever au statut de responsable de l'ordre cosmique."

Mythra serait donc né d'une roche (la pétrogenèse) en faisant jaillir une source d'eau, ce qui permit à la nature d'engendrer une renaissance. Dans la scène de sa représentation, Mithra n'apparait pas sous l'apparence d'un nouveau-né, mais sous celle d'un jeune homme vigoureux. Cela me fait penser à Moïse qui avec son bâton a fait jaillir une source d'eau de la montagne. Parlait-on en réalité d'une éjaculation ou de la perte des eaux d'une femme sur le point d'accoucher ? Philipappos, filipappos, fille pappos ? Philipapos pourrait être la fille du pape, la Mithra qui a vaincu le soleil, d'où le "sol invictus" ? Il est possible qu'elle ait été abandonné là, sur ce rocher, au soleil brulant et qu'elle aurait dû y mourir. Le succès de son combat aura fait de son histoire un "mythe" en honneur à Myth-Ra, le mythe de Râ, le dieu soleil, le mythe du sol/soleil car le sol/la roche devait être aussi brulant que le soleil. On peut supposer que la source d'eau a permis la résurrection de la jeune fille, la Muse qui a peut-être inspiré celui qui est devenu Moïse en éveillant sa conscience sur l'aberration des rituels sacrifices qui avaient lieu chaque année, lors de la fête annuelle du Mehragān où un innocent - remplacé plus tard par un agneau ou un mouton sera tué lors d'une cérémonie puis rôtie sur "le temple de feu", appelé Dar-e Mehr (zoroastrien) ce qui signifie « porte/cour de Mithra »

Mais qui était "Phaéton" ? Il était le "brillant", le fils du soleil. Peut-être que Phaéton était le fameux arbre de feu qui aurait blanchi les cheveux de Moïse ? J'imagine qu'il est son fils en train d'être brulé sur la pierre et que des yeux de Moïse ont jailli des larmes qui l'ont sauvé... Voyant un animal non loin, il le mit à cuir à la place de son propre enfant. En effet miroir, le fils ou la fille sont la Muse/Moïse d'un Moïse qui trouva les mots pour que la politique de son temps cesse les sacrifices rituels qui causaient tant de souffrances. Moïse a changé l'histoire en demandant à ce que les souffrances humaines soient prises en considération et reconnues en tant que douleur inutile.

Le Mont Phicion, un Phaéton dramatique ?  

Selon une autre légende que celles racontées dans les articles précédents, le Sphynx se serait donné la mort du haut du rocher du mont Phicion = φίκιον en grec = fikion. Fikion = fiction ? Oh ! Et Phaéton = feuilleton ? Si  on ajoute la "céna" en tant que repas lors de la messe mythriarque, alors on a la "scène"... La fameuse sainte cène/scène où l'on mange l'hostie/à Ostie est un feuilleton (un Phaéton) tué sur de la fiction (de la roche du mont Phicion), situé à l'embouchure d'un fleuve (Ostie/Ostium). C'est à Ostie que se trouvait le "castrum", un type de camp militaire. Etait-ce un lieu où les hommes étaient castrés dans le sens de circoncision ?  

Dans une liturgie associé au culte du Mithraum, le lieu correspond à une grotte, nommée auparavant "spelaeum". Ca me fait penser à speculum. la grotte est-elle le ventre de la femme  ? C'est peut-être pour cela que le mot grossesse commence par "gro" comme pour le mot grotte. Le spelaeum correspondrait au rocher où Mithra serait née : Natalis Solis Invicti, le 25 décembre.

"Les Mithrakana (devenus Mihragân), fêtées le 2 octobre, au début de l'hiver, étaient célébrées dans le culte mazdéen et zoroastrien."
"En 324, l'empereur Constantin interdit de sacrifier aux idoles et de pratiquer les rites mystérieux, mais c'est vraiment l'interdiction par l'empereur Théodose en 391-392 de tous les cultes païens qui mettra fin au culte de Mithra." 

https://leg8.fr/religion/culte-de-mithra/

Le mont Phicion est une montagne de Béotie, en Grèce antique, qui est aussi liée au mythe du monstre Phix le fléau, également connu sous le nom de Phicion. Selon Hésiode, ce monstre était un géant qui terrorisait les habitants de la région. D'après une des versions des légendes du Sphynx, ce dernier était un monstre qui dévorait ceux incapables de répondre à ses questions ; d'où le glissement de son nom qui serait passé de Sphynx à Phix.

Qui était Phix ? Etait-il un homme qui se débarrassait des personnes qui le dérangeaient en les tuant près de ce rocher brulant et en les jetant du haut de la falaise ?  Que se trouvait-il autour de ce lieu ? Ce qu'on appelle la "Pirée". Pourquoi ce nom ? Sans doute car le pire y est arrivé et que quelque chose s'est fixé/Phix... 

La Pirée est un port d'Athènes où arrivent les navires porte-conteneurs. C'est par là que passent aujourd'hui 70% du trafic de passagers. Pirée fut aussi un lieu impitoyable de l'existence d'un réseau d'une traite abominable où des jeunes filles étaient enlevées et transportées de force pour être prostituées. Les grands nombres estimés depuis 1880 à nos jours étaient en 2009 étaient comparables à ceux de la traite des noirs. Le fléau était tout aussi grave, voir pire car les esclaves noirs avaient la religion et le travail. Dans la traite des femmes esclave sexuelle, les femmes étaient obligées à la sexualité abusive, tant qu'elles tenaient debout et que leur apparence restait potable. 

Selon un rapport (selon le livre de Jean-Michel Chamont, "le mythe de la traite des blanches, enquête sur la fabrication d'un fléau", il y avait quatre catégories de femmes majeures victimes de la traite : les prostituées, la semi-professionnelle et femme-facile, les artistes et danseuses, et les novices, c'est-à-dire les innocentes.

Mais s'il y avait des femmes majeures, il y avait aussi beaucoup de mineures marchandées en tant que majeures. Des enfants étaient mis en danger en leur faisant traverser la mer en bateau afin de les prostituer. De nos jours, de nombreux parents mettent en danger leurs enfants en traversant dans des petits bateaux de fortune les mers depuis l'Afrique jusqu'en Europe, en espérant l'eldorado. Combien d'enfants morts de froid ou par noyade ?

Depuis tout temps, si la répression de la traite humaine est constamment mise en échec, c'est à cause de la limite d'âge.

Si la limite d'âge était supprimées concernant le consentement, les trafiquants se heurteraient à de grosses difficultés.

Mais revenons à la Grèce Antique où de nombreuses personnes furent tuées, soit pour cannibalisme, qui était un mode de sacrifice humain qui a marqué l'histoire, soit parce qu'elles n'étaient plus assez "présentables" à force de prendre des coups. Elles étaient tués si elles tentaient de s'échapper ; et quand elles arrivaient à fuir, beaucoup se suicidaient. D'où le rocher en pleurs et la création du torrent de larmes ou fleuve des enfers.

Mais elles étaient aussi tuées si elles avaient le malheur de vouloir assister aux Jeux Olympiques.

Au départ, les Jeux olympiques étaient très patriarcaux : les femmes mariées n'avaient pas le droit d'y assister ni même de se montrer dans l'Atlis sous peine d'être précipitées du haut du rocher du Typaion ! Ce crime féminin faisait partie des 14 points du serment olympique qui régissaient l'organisation des jeux depuis 338 av. J.-C. Il y a des époques où il valait mieux rester célibataire !

Toutefois, il semblerait qu'il y ait eu quelques noms de femmes dans le palmarès des vainqueurs de courses de chars ; cela était dû au fait que le nom du conducteur était celui d'un homme propriétaire de l'attelage. La nudité des athlètes lors des épreuves est parfois expliquée comme une conséquence de la victoire d'une femme lors d'une olympiade, alors que les participants concouraient encore vêtus. Cette pratique serait donc une solution pour exclure à coup sûr les femmes des épreuves.'
Par le talon d'Achille (ache-il)

(C'est peut-être pour ça qu'un jour une femme a inversé la tendance en courant nue entre deux armées, dans l'espoir qu'ils ne se fassent pas ou plus la guerre...)

Et je pense au mythe de Sisyphe dont le châtiment était de rouler ou de porter éternellement un rocher au sommet de la montagne. Sisyphe est-il Tantale ? Tantale a été chassé et condamné par Zeus parce qu'il a tué et démembré son propre fils et qu'il l'a servi en repas à table... Zeus, fou de rage a d'abord condamné Tantale a rester debout, le corps à moitié plongé dans l'eau, tenaillé par la faim et la soif avec la menace au-dessus de lui qu'un rocher ne lui tombe dessus. C'est le fameux supplice de Tantale qui raconte que placé au milieu du fleuve sous les arbres fruitiers, le fleuve s'asséchait quand il se penchait pour boire et le vent éloignait les branches de l'arbre lorsqu'il voulait attraper un fruit. Une torture pour avoir commis ce qui crève un coeur.

On dit qu'il a été attaché en haut de la montagne et que Zeus lui a mis une grosse pierre sur la tête pour qu'il ne puisse plus jamais se relever et aller faire du mal à quiconque. Le dieu Zeus a protégé les habitants d'un tueur en série... Dans un autre pan de l'histoire, le rocher qui pleure correspond à une mère si terrassée par le chagrin parce que tous ses enfants ont été tués, qu'elle s'est transformée en pierre.

L'enfer dans lequel se trouvait Tantale se nommait le Tartare.

Voilà donc d'où vient le nom culinaire du steak tartare... Il tient son nom d'une boucherie fait de chair humaine..

Platon dans son dialogue intitulé Gorgias remarque que l'on ne retrouve que des criminels et meurtriers puissants dans le Tartare, et donne pour supplice à Tantale un rocher qui menace sans cesse de l'écraser : Socrate fait dériver le nom même de Tantale du mot Tántalos qui signifie « balancé » en grec ancien. Un rapprochement avec τάλας / tálas, « malheureux », est une étymologie populaire présente dans Cratyle de Platon

Tartare est le dieu du chaos qui abrite les plus grand criminel. Dans l'Illiade, Homère explique que le tartare était la prison des Titans et des Géants lors de la lutte contre les Olympiens, durant la Titanomachie. Dans le nouveau testament, le tartare est comparé à l'enfer.

Tantale était donc un tueur cannibale et Sisyphe un violeur.

Sisyphe fut condamné, dans le Tartare, à faire rouler éternellement jusqu'en haut d'une colline un rocher qui en redescendait chaque fois avant de parvenir au sommet (Odyssée, chant XI).

Sisyphe serait le violeur d'Antiklé, la mère d'Ulysse... Antikleia en grec : anti -cléa. Clea est un nom de femme. Son nom est devenue "celle qui était contre", celle qui s'est rebellée, qui a refusé. Elle a malgré tout élevé son fils Ulysse qui est devenu un sacré bagarreur, prêt à défendre la veuve et l'orphelin comme il aurait sans doute aimé qu'on le fasse pour lui et sa mère. Puis, lors d'un de ses voyages lointains, on fit croire sournoisement à sa mère Anticléa que son fils était décédé. Elle ne le supporta pas et de chagrin mis fin à ses jours... (Kleia, Kléo, Kléopâtre...)

L'anticlé de Cléa était une histoire si dramatique qu'elle se grava dans la pierre et devint "la période Antique". Est-ce que le code de Gortyne viendrait de cette époque ? Le code de Gortyne est un important recueil de lois gravés sur de la pierre en boustrophédon, dans le première moitié du V siècle av J.C.  Les pierres de l'inscription proviendraient d'une carrière voisine nommée "Labyrinthe", au sud de la Crète. Ce code appelé "La loi des douze tables" a déterminé le droit des citoyens, des esclaves et des étrangers. Par exemple, le viol fut puni d'une amende, doublée si il était commis par un esclave. Je pense aux lois de Moïse gravée sur des tablettes de pierre et me demande si ce n'est pas lui qui aurait pu écrire le code de Gortyne ?

Les Philipappos étaient des philosophes qui représentaient les sages amoureux, ceux qui aimaient sagement et qui ne manquaient pas de respect aux femmes. Parce que malheureusement, non loin de là, de nombreuses femmes pleuraient parce qu'on faisait d'elles des esclaves sexuelles.  

Socrate, le célèbre philosophe fut emprisonné dans la prison de la colline de Philipappos à Athènes. Il était accusé de corrompre l'esprit des jeunes avec ses remises en cause de l'autorité et ses contributions à la philosophie. Sa prison était une grotte dans laquelle il aurait séjourné durant son procès. Je fais un lien avec l'article précédent sur le Sphynx gardien des morts et je me demande si le Sphynx n'était pas un gardien de prison ou son directeur. Mais je superpose également une autre histoire, celle de l'allégorie de la caverne exposée par Platon dans le livre VII de la république.

L'œuvre porte sur la notion de justice, tant du point de vue de l'individu que du point de vue collectif et social. Platon et Socrate cherchent à trouver en quoi une société et un individu peuvent être justes et cherchent pour cela à remonter à l'Idée de Justice, grâce à la méthode dialectique (méthode d'élévation de l'âme)

L'allégorie de la Caverne présente la théorie des Idées de Platon, qui constitue à la fois sa métaphysique (= sa théorie de la connaissance) et son ontologie (= sa théorie de l'être et du réel). La République est également un dialogue politique, puisque Platon y expose sa théorie sur l'organisation idéale de la Cité et sa théorie du pouvoir (philosophe-roi)
https://la-philosophie.com/platon-caverne-allegorie

L'allégorie de la caverne met en scène des prisonniers enchainés et immobilisés, dos à la porte, vivants dans l'illusion des ombres et des projections sur les parois de la grotte, car privés de lumière, ils prenaient les apparences pour la vérité et croyaient qu'elles reflétaient la réalité. L'histoire est une métaphore de la nature de perceptions et de connaissances d'humains ignorants et confus.  C'est en étant libéré et conduit au-dehors que le philosophe, libéré de l'opinion et du vraisemblable réalisa que ce qu'il voyait auparavant n'était pas ce qu'il croyait. Il accédait aux idées intelligibles et pouvais les contempler.  C'est la lumière qui était la vérité et l'ombre, une projection. Mais alors qu'il essaya d'informer les autres prisonniers de la vraie nature du monde réel, ceux-ci ne voulurent pas le croire, préférant garder leurs illusions, parce que trop attachés à leurs croyances.

Merci à l'IA qui indique que l'allégorie de la caverne est l'allégorie de la philosophie. C'est le fait d'exprimer des pensées sous une autre forme pour en faire comprendre un autre sens. Des années durant, j'ai confondu ce mot avec celui de "métaphore". Je croyais faire des métaphores alors que je faisais pleins d'allégories. 

En résumé, la philosophie libère et permet l'accession à la connaissance. Les philosophes sont les prisonniers qui se libèrent de la caverne, pour découvrir la vérité et la lumière ; et pour comprendre la réalité, il faut se détacher des apparences.

Le monde est ainsi divisé en deux : les choses sensibles, fausses, et leurs idées, vraies. Or, la vérité étant préférable à l'illusion, le savoir doit guider l'homme et la Cité. Donc, c'est au philosophe, seul à même de connaître le vrai, de régner.

https://la-philosophie.com/platon-caverne-allegorie

La caverne, c'est l'opinion public, la TV. Aussi, celui qui ne convertit pas son regard en regardant autour de lui au lieu d'avoir le regard bloqué droit devant, ne sera sensible qu'aux ombres de l'illusion projetées à l'intérieur et aux préjugés apparents. Mais toute personne qui fait un travail sur soi en ouvrant ses objectifs visuerls sera capable d'accéder à la connaissance des idées vraies et ainsi d'accoucher de son âme.

La lumière du feu de Socrate dans son allégorie ressemble à la lumière du feu dont parle Moïse...