52- La mémoire (de) l'égale
de l'opération univers

"Al" est quelque chose qui croît, qui se nourrit.
C'est pourquoi il est une unité de distance, dont la racine indo-proto-européenne signifie "au-delà", parce qu'il représente symboliquement par son abréviation, une année lumière en astronomie. Dans l'univers, l'unité de longueur ne se mesure pas en kilomètre, mais en "espace-temps", c'est-à-dire au temps que met la lumière pour parcourir un espace donné. Nous avons pour habitude de parler de la distance que parcourt la lumière en une année, sachant qu'elle fonce à 300000 km/s, ce qui fait 9 461 000 000 000 km par an... Je crois que là, on parle de 9 trillons 461 milliards ? Le Proxima du Centaure étant à 4.3 années lumière, je me dis que si l'home est capable de faire ce genre de calcul qui nous semble tellement impossible, c'est que nous sommes bien ignorant de la réalité de la totalité de l'existence. Il parait que nous ne connaissons qu'un huitième d'un huitième de l'existence...
"Tout ça m'est bien égaaaal !" euh... Non, rien de rien, non, cela m'est impossible ! Oublier ? Faire comme si l'infini n'existait pas ? Comme s'il ne croîssait pas en même temps que notre conscience s'élève vers tout ce qui nous unit ? J'ai cette impression que l'univers se nourrit de la compréhension de notre compréhension. Si l'univers est une conscience géante, alors, à l'image des fourmis dont parlent Bernard Werber, nous sommes les neurones de ce cerveau cosmique. "Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas" et vice-versa dit la Bible, alors quelque part, nous sommes égales.
En créole "al" est une particule verbale qui indique le sens de "peut-être" ou "probable", aussi, aucune égalité n'a de certitude quand à sa durée. Nous pouvons être telle la lumière et parcourir des années de vie puis soudainement s'éteindre. Serons-nous alors égal aux autres illuminés ? Non.
En hongrois, le mot "alma" est une pomme, en italien, c'est l'âme. Je fais de suite "univers" entre les deux et je comprends que l'histoire de la pomme dans la Bible est liée à l'âme. En Kotava, Alma, c'est la peau. Si on fait l'opération univers entre la pomme, l'âme et la peau, qui sont je pense les mots de Babel dispersés parce que des étrangers ou les gens d'une tribu sont partis dans une direction différente et ont raconté chacun dans leur langue a des gens qui ont compris dans leur langue l'histoire d'une pomme pour les uns, de la peau pour les autres et de l'âme pour un autre. C'est comme avec l'histoire du prénom Achille et du mot "hache" qui signifie bois, herbe ou douleur selon les interprétations.
Voir ici : Par le talon d'Achille (ache-il)
Il y a longtemps et selon les lieux "al" se disait ou s'écrivait "an", c'est pourquoi en certaines langues comme le portugais par exemple, alma provient du latin anima, pour parler d'un esprit animé. Et dans le pays juste à côté, Alma est utilisé pour parler d'une personne Vierge, soit en tant que personne qui n'a jamais été touchée, qui est intact, soit qui dans les faits, n'est pas entachée, "qui est au dessus de tout soupçon".
Si je fais l'opération univers avec le mot "légal", je comprends mieux pourquoi il y a "égal" dans "légal". Dans la langue judiciaire, en latin, le mot "animadverto" signifie "prendre garde", "veiller à " ou "punir". Dans la langue ordinaire, il signifie simplement "remarquer".
Dans le néo-araméeen assyrien, "alma" désigne le mot "gens" donc le pluriel de l'individu. On réalise alors que le souffle de vie des uns est l'anima des autres. Un = plusieurs. Aucun un ne peut exister sans un autre un.
Al est la direction d'un mouvement qui parcourt un espace-temps parce qu'il croit en se nourrissant d'un information par la grâce de l'opération univers. Nous sommes tous égaux parce que nous avons tous un "al" en nous, que ce soit par le mouvement, la lumière, la peau/pomme ou peau homme = la peau de l'homme est en mouvement dans la lumière et croit dans l'espace-temps en se nourrissant d'informations qui communiquent par l'univers entre ici et au-delà. Voilà. Maintenant, je peux chercher ce que signifie "ég" ou "eg" sans accent et voir pourquoi il a été rattaché à "al" et puis pourquoi égal à été attaché à un "L" pour faire le "mot légal". Mais je vais d'abord enregistré ce travail pour ne pas le perdre.
C'est l'idée de l'égalité qui a conduit à celle de la justice
En latin, égal se dit "aequus" du verbe "aequare" en Italien et qui est une variante archaïque de "equare". Ce mot me fait penser à équerre et je me dis que c'est peut-être pour ça que le "L" a été choisi pour mettre devant "égal" faisant alors symboliser le "légal" comme un "égal à l'équerre", un égal droit, autant dans l'horizontal que dans la vertical.
Equare est aussi une variant d'escart, ce qui me fait penser aux escarres des vieux malades dont le déverbal escarter (comme s'écarter), apparenté à "s'escartir" (se tenir à l'écart) signifie "quitter, abandonner". Il est vrai que lorsqu'on voit un malade avec des escarres, ce n'est jamais bon signe ; cela laisse à penser que son âme va bientôt quitter sa peau d'homme, sa pomme (d'où l'expression sauver sa pomme ?). Un escarre est donc une distance qui sépare le clocher du village de ses confins (de ses limites, de ses extrêmes).
Il y a donc dans le mot égal une histoire de séparation, de distance entre les deux bouts d'une direction, comme celle de la vie à la mort ; d'où le fait de dire qu'on est tous égaux devant cette dernière. La vie est comme une zone tampon, elle est égal et si elle pouvait être légal, ce serait encore mieux.
Mais revenons à nos moutons. le latin "aequus" du verbe "aequo". Son sens propre est le même que celui de "planni" signifiant "uni" (d'où l'opération univers = uni et vers), mais aussi "équitable" et "juste".
En grec ancien, aequo se dit ἔοικα, éoika pour « ressembler ». En sanskrit एक, éka (« un ») d'où « uni ».
Eo = oe ; c'est la graine, c'est l'eau, et c'est même l'oeil, c'est ce qui est mis sur le même plan. La graine, l'eau, l'oeil et le foi sont égaux en distance sur le plan de l'unité de longueur dans l'espace temps de ce qui est univers.
Egal est la représentation mise en lumière de la compréhension d'une information juste, même si on sait que la certitude n'existe pas vraiment.
En grec ancien, "égal" ou "égaux" se disait "eikô" pour "être semblable", "ressembler", "avoir l'air de", "paraitre". D'où le nom commun "eikốn" (eh con ! ah ah ah !) pour image et ressemblance. Vous voyez ? Et le mot qui a dérivé de "eikô'n", c'est ? "Icon" pour "icone" ! Ben oui, une icone est une image ou une figure, un portrait qui nous parait semblable, à laquelle on s'identifie.
Mais comme tout le monde n'est pas d'accord, al est aussi la guerre en Oirata (une langue Papoue).
A l'opposé, en hongrois "ég" c'est le "ciel" et ça veut dire "je" en Islandais. EG dans les conventions internationales, c'est le symbole de l'exagramme, une unité de mesure de masse du système internationale (SI) et qui vaut 10 puissance 18 grammes ou 10 puissance 15 kg, qui est le plus largement employé dans le monde (pas par moi ; en dehors de l'hypothèse SI, je n'y comprends rien !). Donc EG pour Exa et Gramme. Exa, c'est le chiffre 6, du grec ancien ἕξ, hex, qui dans le langage oiseau est le "x" comme le chromosome qui codifie l'être que nous sommes. Aussi, j'aime envisager l'idée que nous puissions être la sixième génération d'humains dans cette unité de mesure. Egal/Eg-al = Ex-al = Exa-année lumière.
J'émets l'hypothèse que l'unité Tera était la quatrième génération d'humains sur Terre.
Ou alors cela veut dire que nous sommes à 6 années lumière de là d'où nous venons... Six, sex, hex, ex, X, ça va dans le même sens. Il y a une sixième génération d'humains avec une vie sexuelle, après 5 générations disparues, ce qui va avec une légende indienne qui parle de 5 lunes qui se sont effondrées sur Terre.
Le symbole de gramme est le G, d'où peut-être le fameux point G sexuel.
Exa-gramme. Gramme comme dans grammaire.
Le gramme vient de gravet pour grave du latin gravis pour digne et lourd. Gravis, comme dans gravir. Si Gravis signifie lourd, il veut aussi dire "enceinte"... Quelque chose d'important, de considérable, peut avoir un accent grave... Marcher d'un pas grave, c'est marcher avec pesanteur (alourdit, contraint, surchargé). Grave est aussi un mot utilisé pour la dignité. Quelqu'un qui parle avec une voix grave, qui dit quelque chose de sage, qui agit avec circonspection? En musique, le son grave peut être majestueux, lent, solannel.
En sanscrit, grave se dit "guru" comme "gourou". Grave ou gourou peut être pesant matériellement et savant dans la métaphore. C'est peut-être pourquoi, dans le grec ancien, il y a γράμμα, grámma en tant que « lettre, poids d'un scrupule ».
Graver est dériver de gravet et de grave. Et le gravas la pierre est dérivé également du gravet. Alors avec l'opération univers, je pense immédiatement à la phrase "graver dans la pierre". Le mot graver dit de lui-même que quelque chose de lourd en conséquence, une compréhension de masse qui ne doit pas être oubliée est gravée dans un poids pour que son information ne puisse pas s'envoler par la puissance de la vitesse de la lumière.
Un jour, quelqu'un s'est dit que si nous étions tous égaux en vivant une vie de la naissance vers l'au-delà, alors nous devions tous être égaux durant cet espace-temps, sans s'octroyer le droit d'écraser son prochain. "Tu ne tueras point", "Tu ne prononceras pas le nom de ton dieu en vain", "tu ne convoiteras pas le sexe d'une femme si elle ne veut pas", "tu respecteras tes ainés", "etc. Et si tu ne respectes pas l'égalité qui nous est dû, alors si quelque chose de grave se passe, on se mettra en grève.