55- L'Arabie heureuse, le phoénix et la résurrection de Jésus (1)
Je faisais des recherches, quand soudainement, j’ai vu écrit sur une carte ancienne « L’Arabie Heureuse ». Euh… Arabie heureuse, c’est possible ça ? Ce doit être un mythe ou alors si c’est réel, ce ne doit être que pour les hommes. Sans vouloir faire de préjugés, lorsque j’entends parler de pays arabes, j’ai tendance à avoir une larme à l’œil pour les femmes dont les dogmes des religieux détiennent le pouvoir politique. Dans certains pays arabes, je sais que la femme, jeune ou vieille, n’a pas le droit d’étudier. Elle n’a pas le droit de prendre des décisions seule, et on lui impose un tuteur pour sortir, même pour faire une course au marché. Dans ces pays où les dogmes sont légion, le seul droit du sexe féminin est de se taire devant le mâle dominant, qui se croit plus royal que les autres. Alors, je me pose la question. Est-il possible que réellement, les terres d’Arabie aient été « heureuses » ? Et si oui, pourquoi ? Est-ce qu’un jour les gens y étaient tellement heureux que les gens ont nommé tout un continent ainsi ?
Je dois enquêter. J'ai besoin de savoir, de comprendre. J'ai remarqué sur la carte qu'une des villes principales s'appelle « Phoenix », ce qui m'a tout de suite fait penser au célèbre oiseau asiatique, du moins, c'est ce que j'ai toujours cru jusqu'à présent.
Le Yémen d'antan correspondrait à ce qu'on appelle l'« Arabie heureuse ». Je vais devoir réviser mon cours d'histoire-géo, car je croyais que le Yémen était une montagne en Asie… Cela montre bien qu'on peut raconter n'importe quoi à partir d'une idée fausse !
Ce berceau de plusieurs civilisations était heureux, car il dégageait déjà une odeur de parfums et d'épices. L'économie était prospère, les peuples ne manquaient pas de nourriture et partout où les yeux se posaient, la beauté était là. Il semble que la personne qui avait magnifié ces lieux était la Reine de Saba.
En ce temps-là, il y avait trois Arabie :
1) L'Arabie Pétrée ou Petrea (au nord-ouest)
2) L'Arabie déserte (nord-est)
3) L'Arabie heureuse (au sud)
L'Arabie Pétrée est une province romaine correspondant à la Jordanie. Une de ses villes principales est bien Pétra (la Pétra dont j'ai fait un article récemment (54— La pépite « Pétra »). Je suppose que « « pétrée » a donné ou vient de « pétrifié ». La pétrification est un processus de fossilisation, quand la matière organique se transforme en pierre ou en minéraux. On est tenté de croire que chaque tombe de Pétra est responsable de la formation d'un grain de grès, étant donné la multitude de sépultures présentes. Certains évoquent non pas une réincarnation, mais une transsubstantiation, un processus de transformation des substances organiques en poussière, qui, en se durcissant, deviennent semblables à la pierre. Je ne trouve pas cela si « miraculeux » que ça. Ici, la conversion revêt une signification différente. Certaines eaux se « pétrifient » aussi en croûte calcaire ! Dans la mythologie grecque, une des sœurs Gorgones, la Méduse, pétrifiait ses ennemis en pierre. Je suppose que cela signifiait qu'à sa rencontre, ses adversaires se retrouvaient immobiles comme mort, de peur ou de combat. La farine et l'eau ensemble se pétrissent afin de les convertir en pain, d'où le fait de pétrir le pain. La conversion est donc une transformation d'une substance en une autre. Il y a la conversion du corps et la conversion de l'esprit. Quelqu'un de méchant peut se convertir en quelqu'un de gentil. La conversion n'est pas obligatoirement dogmatique. L'essentiel n'est pas dans le nombre de prières ou la répétition en vain du nom d'untel, mais dans l'essence d'une meilleure version du con que l'on peut être ou que l'on est. Si je suis plus cultivée aujourd'hui que dans le passé, cela veut dire que j'ai amélioré une version de ma stupidité. Je suis devenue une personne plus cultivée. Le fruit de mon travail est plus mûr.
De plus, Moïse, Jésus, et des femmes arabes qui sont vénérées comme des déesses ont foulé l'Arabie Pétrea. Pétra fait partie des sept nouvelles merveilles du monde.
Une première carte, tirée de l'Histoire Sainte de Pierre-Daniel Huet [5][5]Amsterdam, 1705., ne représente pas l'Arabie comme une péninsule, mais lui accorde une position bien plus continentale. L'« Arabie heureuse » est une immense étendue bordée par la mer Rouge et le golfe Persique. Quant à l'« Arabie pétrée » et l'« Arabie déserte », elles se partagent la bande septentrionale, l'une à l'ouest, s'étendant jusqu'au nord de la mer Rouge, l'autre à l'est, allant jusqu'aux rives du golfe Persique. Une carte plus tardive montre l'Arabie comme une péninsule dont l'Arabia felix occupe la plus grande part. La partie septentrionale se partage, là encore, entre Arabia petrea, cette fois située à l'est, et l'Arabia deserta, à l'ouest, et plus au nord. Enfin dans une carte plus complexe et plus orientée vers le nord, l'Arabie est délimitée respectivement par le « Sinus Arabicus » (mer Rouge) et le « Sinus Persicus » (golfe Arabo-persique). Cette fois, l'Arabia felix, sur cette disposition plus aplanie, occupe la quasi-totalité de l'espace. L'Arabia deserta est une bande de terre située au nord de la mer Rouge et du golfe Arabo-persique, et qui les relie, tandis que l'Arabia petrea n'est qu'un petit espace localisé au nord de la mer Rouge, et n'atteignant pas même la Méditerranée.
L'Arabie heureuse, qui associe l'espace arabe à l'idée de fertilité, est également renvoyée à celle de source ou d'origine. Cet imaginaire de l'Arabie heureuse se retrouve jusque dans un article publié en 1944 par Aimé Césaire .
Source : Extrait de l'article de Bernard Franco : Introduction De l'Arabie heureuse au bonheur en Arabie
https://www.cairn.info/revue-de-litterature-comparee-2010-1-page-3.htm
L'Arabie heureuse va avec le café et l'hospitalité des Bédouins, auréolés d'une image de bienveillance. L'Arabie heureuse a aussi pour figure le royaume de la reine de Saba et le voyage qu'elle a fait à Jérusalem pour y rencontrer le roi Salomon. Et par l'opération universelle, je vois le voyage de Cléopâtre pour Jules César, celui de Marie pour Jésus et celui de Mahomet où il rencontre sa première épouse, qui entretenait des relations commerciales et culturelles avec l'Asie.
L'histoire de la reine de Saba a deux versions, une version préalable et une autre postérieure, où elle est écrasée ou restaurée avant de disparaître à nouveau ; ce qui, par l'opération de l'univers, me fait immédiatement penser à l'avant-Jésus et à l'après-Jésus, à sa mort, à sa résurrection, puis à sa disparition.
J'apprends dans cet article que le pèlerinage à la Kaaba était antérieur à l'islam. Ce gros cube noir existait déjà avant la naissance de l'islam. Les musulmans parlent de deux kaaba, une terrestre et une céleste. Je fais le lien avec les deux tombeaux qu'avaient les personnalités importantes : une pour leur esprit et une pour leur corps…
+ des cubes en Arabie Saoudite et des pyramides en Égypte
Saba était aussi connue sous le nom de Shéba. Avec l'opération « université » (rire), cela me fait penser à la marque de la pâtée pour chat et à une information capitale que j'ai apprise récemment : je crois que Jésus avait un chat.
Dans un passage de la Bible traduit récemment par le maitre de Sacy (que je ne connaissais que depuis une semaine à ce moment-là), il est écrit que Jésus tenait un "van" à la main. Évangile de Matthieu, Chap 3, verset 12 : "Il a son van en sa main, et il nettoiera parfaitement son aire ; il amassera son blé dans le grenier, mais il brulera la paille dans un feu qui ne s'éteindra jamais."
Sur le moment, j'ai pensé à la voiture qu'on appelle « van », mais, à l'époque, on n'en avait pas. C'était je suppose, une sorte de charette, mais je n'en étais pas sûre. Alors j'ai pensé que le mot était peut-être de la même famille que le mot "vannerie", qui est une technique de tressage de fibres végétales comme le bambou, l'osier, pour fabriquer des paniers et des meubles. Personne ne me croira, mais, trois heures plus tard, j'ai rencontré un vieil homme aux airs usés par l'expérience, qui promenait un gros chat sur ses épaules, comme une étole. Cette scène m'a irrésistiblement attiré et j'ai eu envie de dire quelque chose. C'est ainsi que j'ai pu gratifier le chat d'une douce caresse sur sa tête. Alors, le monsieur m'expliqua que ce chat était « un chat de van de Turquie ». Voilà que le mot "van" surgissait deux fois dans la même matinée alors que je n'en avais jamais entendu parler auparavant, à part la ville de Vannes en Bretagne. Mais qui sait si un lien n'existerait pas ? Le chat " Van de Turquie" est aussi appelé « chat nageur », du fait qu'ils soient capables de traverser le lac de Van de Turquie à la nage. Jusqu'où sont allés ces chats ? De Van à Vannes ? Est-ce que je fais une fausse association ou un lien pourrait-il exister ? Une chose est certaine, c'est que ces chats n'ont pas peur de l'eau. D'après le monsieur, ils seraient même capables de faire fuir des chiens bergers allemands par leur force et leur courage. Je me suis plongé dans ma réflexion à peine rentrée à la maison, et une question m'a traversé l'esprit : le mot « van » associé à Jésus dans ce verset biblique ne désignerait-il pas plutôt un gros chat qui l'accompagne, et non une vannerie ou un chariot ?
Le lac de Van est également connu sous le nom de « mer de Bznunik » en kurde ou de « mer de Rshtunik » en arménien. En grec, on l'appelle « Thospitis » et, en latin, « Arsissa Palus ».
Le peuple arménien considère ce lac, car l'eau n'y est pas potable de par sa forte alcalinité, sa salinité importante et sa richesse en carbonate de sodium (avec lequel on fabrique apparemment du détergent). Alors, les chats de Van, ils doivent être super costauds et super propres !
Ce lac est considéré comme sacré par le peuple arménien, car il serait à l'origine de la légende de David de Sassoun. Sa mère, après avoir bu trop gorgée de son eau, serait tombée enceinte. David de Sassoun était un titan à la force surnaturelle qu'il a héritée de son père. On raconte qu'il faisait souvent des gaffes à cause de cette force. Son histoire rappelle un peu celle d'Héraclès, alias Hercule.
Ce lac est « galacté » car il permettrait la fertilité à certaines femmes stériles. Pourtant, tout le monde ne peut pas entrer dans ce lac à cause de la soude qui permet de faire la lessive. Deux sortes de poissons (la truite et le saumon arc-en-ciel ?), une sorte de chat, quelques femmes et un château. Un château, du moins on le pense. Des fouilles récentes ont permis de voir un grand mur d'un kilomètre de long qui s'enfonce dans les profondeurs du lac depuis la ville d'Adilcevaz. Il est immergé à plus de dix mètres de profondeur et des portions s'élèvent à trois ou quatre mètres sous l'eau. C'est le sel alcalin qui aurait permis de conserver en très bon état ce vieux château avec de vieilles inscriptions sur les murs et même une tête de lion gravée dans des blocs de pierre par les Urartéens, il y a plus de 3000 ans. Urartéens comme Ur ? Ces inscriptions mentionnent un roi nommé « Rusa » et un dieu appelé « Haldi ». La ruse de l'Aldi, comme le magasin ? (rire)
Le roi de l'Urartu, Rusa, ou Rousa, selon les traductions avait hérité d'un royaume ruiné et à reconstruire, ce qu'il fera durant tout une période de paix, mais les querelles de successions apporteront encore des combats…
PS : On a dû construire le cube de la première Kaaba à Médès. Médès comme Archimédès, alias Archimedes, d'où en géométrie les solides d'Archimèdes liés au cube. On en compterait 13. S'il a fait construire en grand ce qu'il a découvert en petit, on devrait pouvoir les retrouver. Ce sont les hommes qui ont adoré la Kaaba ; ils ont tellement admiré la géométrie qu'ils n'ont pas arrêté de tourner autour pour l'admirer, d'où la circumambulation. Cela m'évoque l'idée de la circoncision, qui suggère peut-être que, pour éviter de tomber, comme la fameuse pomme d'Archimède, qui fait un plouf dans l'eau de son bain, on doit cesser, à un moment donné, de tourner en rond, à l'instar des derviches.
Pour info, en Grèce Antique (voir ici https://fr.wikipedia.org/wiki/Circumambulation )
La circumambulation est un rite qui existait dans la religion grecque. Dans le rituel de la fête familiale des Amphidromies – dont le nom exprime l'idée de « tourner autour » –, fête qui célébrait à Athènes l'intégration du nouveau-né dans la famille, le moment essentiel était la course du nouveau-né autour du foyer familial, probablement porté par le père6. Il semble bien que cette circumambulation autour du foyer était précédée, ou accompagnée, du dépôt de l'enfant à terre près du foyer et d'une autre circumambulation autour de l'enfant lui-même : « Les Amphidromies sont célébrées le dixième jour après la naissance, lorsqu'on impose aux enfants leur nom, tout en courant autour d'eux, déposés à terre. »
La circumambulation se manifestait aussi sous la forme des astydromies (tours de ville), dont le rôle était de constituer un encerclement magique et protecteur contre les ennemis extérieurs. Un bel exemple se trouve dans le récit légendaire du lion de Mélès, roi de Sardes, raconté par Hérodote
Le lion sculpté sur le mur du château est connu sous le nom de Lion de Mélès. Ce n'est pas Médès, mais à une lettre près (ce qui pourrait être trompeur), en raison des modifications de l'alphabet ; qui sait si notre cher Archimède ne promenait pas un lion, tout comme Jésus aurait pu promener un gros chat ?
Cette pensée m'amène à une autre question : pourquoi on appelle également la Kaaba la « maison de Dieu » ? Les chrétiens croyaient que Jésus était Dieu, alors je me demande si le deuxième tombeau de Jésus pourrait être la Kaaba. J'entends déjà les grincements de dents, mais que sait-on de ce qu'il se trouve à l'intérieur de ce cube sacré dont des tissus cachent l'intérieur et les 4 faces ? Ce n'est pas un tombeau ordinaire gravé dans le grès des montagnes. Ce sont 4 faces, comme 4 évangiles ou 4 prophètes ou 4 quelque chose ? Ce monument contiendrait-il 4 corps importants ?
Le désert d'Arabie, voit s'étendre dans son Est, à sa frontière, le golf d'Aqaba, dont la ville côtière Akaba se situe à l'extrême sud de la Jordanie. Aqaba est le seul port du pays. La ville est mitoyenne d'Eilat en Israël.
Histoire (Wikipédia)
Aqaba est le site d'un peuplement habité depuis 4000 av. J.-C., notamment en raison de sa position stratégique au carrefour des routes commerciales entre l'Asie, l'Afrique et l'Europe. Le peuplement originel est connu sous le nom de Eilat (אֵילַת ou, dans la bible, Eilot : אֵלוֹת) en hébreu (et sans doute[réf. nécessaire] en édomite). C'était un centre Édomite puis arabe nabatéen.
La Bible mentionne le lieu : « Le Roi Salomon construisit également des bateaux à Ezion-Geber, près de Eilat en pays édomite, au bord de la mer Rouge ». Ce verset fait probablement référence à un port de l'âge du fer construit sur la position actuelle d'Aqaba/Eilat.
Sous la dynastie des Ptolémées, les Grecs appellent la ville Bérénice, puis les Romains Aila et Aelena. Sous les Romains, la Via Nova Traiana qui allait de Damas à Amman se prolongeait jusqu'à Aqaba, où elle rejoignait la route qui allait de l'Égypte à la Palestine.
Peu après la mort de Mahomet, Aqaba fait partie du califat, et passe successivement entre les mains des Omeyyades, Abbassides, Fatimides et Mamelouks. Le début de l'ère musulmane voit la construction de la ville de Ayla, décrite par le géographe Shams Eddin Muqaddasi comme étant juste à côté de l'implantation originelle, alors en ruines. Ces ruines, révélées dans les années 1980 par une équipe archéologique américano-jordanienne, sont situées à faible distance du front de mer.
Au XIIe siècle, les Croisés occupent la ville et construisent la forteresse de Helim, qui reste relativement bien préservée aujourd'hui. En plus de bâtir un fort dans Aqaba, les Croisés fortifient la petite île nommée Île de Graye (maintenant connue sous le nom d'Île du Pharaon, à 7 kilomètres de la côte). L'île se trouve désormais en territoire égyptien. Dès 1170, Aqaba et l'Île de Graye sont reconquises par Saladin. Les Mamelouks prennent la ville en 1250 et reconstruisent le fort au XVIe siècle au cours du règne d'un des derniers sultans Mamelouks, Qansah al-Ghouri.
Au début du XVIe siècle, la dynastie mamelouk et la région passent sous influence ottomane. Sous les Ottomans, l'importance de la ville décline : Aqaba devient un simple village de pêcheurs.
Si j'ai bien compris, Aqaba était donc en territoire Egyptien avec à ses côté l'ile de Pharaon, d'où la mer rouge.
« Édom » dérive de la racine אדם (Adom) (rouge, terre, surface plate) en référence au calcaire rougeâtre de la région de l'est de l'Aravah. Aravah est une partie de la vallée du rift du Jourdain située entre la mer Morte au nord et le golfe d'Aqaba au sud. Elle forme une partie de la frontière terrestre entre Israël à l'ouest et la Jordanie à l'est.
Aravah, Arabah, c'est pareil ?
L'Arabah était davantage peuplé dans l'Antiquité ; c'était un centre de production de cuivre. À l'âge du Fer, elle abritait les Édomites. À l'est de l'Arabah on trouvait le territoire des Nabatéens, qui construisirent la ville de Pétra.
Pétra, la ville aux tombeaux royaux... Petra comme Pierre, rappelez-vous l'article précédent.
Il est dit que la multiplication des pains et des poissons aurait eu lieu à Tagbah
Tabgha est un site situé sur la rive nord-ouest de la mer de Galilée (ou lac de Tibériade), en Israël. La tradition biblique y localise le miracle de la multiplication des pains (Mc.6:30-44) et l'apparition du Christ ressuscité à Pierre et six autres disciples tel que raconté en Jn.21:1-23. (Wikipédia)
L'apparition du Christ ressuscité à Pierre, l'homme ? Ou à Pierre alias Pétra, la ville ? Relire si nécessaire : 54- La pépite "Pétra"
D'après le témoignage d'une espagnol prénommée "Egéria", une pélerine du 4ième siècle, une certaine pierre aurait été vénérée par les premiers chrétiens sur laquelle le Seigneur aurait reposé la nourriture :
Voir extrait ci-dessous de l'article écrit ici : https://omnesmag.com/fr/ressources/la-premiere-multiplication-des-poissons-et-des-poissons/
"Non loin de là [Capharnaüm], vous voyez les marches de pierre sur lesquelles le Seigneur s'est tenu. Juste là, au-dessus de la mer, se trouve un champ couvert d'herbe, avec beaucoup de foin et de nombreux palmiers, et à côté de ceux-ci, sept sources, dont chacune fournit de l'eau en abondance. Dans cette prairie, le Seigneur a rassasié le peuple avec cinq pains et deux poissons. Il faut savoir que la pierre sur laquelle le Seigneur a placé le pain est maintenant devenue un autel.
Une église byzantine commémorant le miracle se dresse aujourd'hui sur le site, qui conserve une pierre qui pourrait être celle décrite par Egérie, ainsi qu'une mosaïque byzantine du VIe siècle faisant allusion au miracle
Ah ah ah ! Je pense à quelque chose !
Et si la pierre de la Kaaba était-celle de Jésus ?
Oh la révélation ! (si ça en est une !) Si c'est ça, les musulmans vont devoir faire de la place aux chrétiens parce qu'à mon avis, beaucoup voudront venir la voir ou la toucher. Ils vont peut-même danser comme des derviches tous ensemble !
Ah ah ah !
Bon, reprenons nos esprits (rire)
Le lac de Galilée (celui où les rois mages suivaient les étoiles à la recherche du messie), s'appelle aussi le lac de Mirogrex terraesanctae. Mirogrex pour les sardines qui étaient péchées et terrasanctae parce qu'elles étaient péchées sur une terre déclarée sainte par Jésus. Pas loin de ce lac,
Il existe également des vestiges archéologiques de l'industrie du salage à Magdala, une ville située au sud de Tabgha.
Magdala, comme Marie de Magdala, c'était sûrement de là que la chérie de Jésus provenait.
La Kaaba de la Mecque ou l'arche de Médès ?
Dans la métaphore, les sardines du lac de Mirogrex, sont les poissons du troupeau aveugle.
Miro est un synonyme d'aveugle : "tu es miro ou quoi ?'" et grex est un terme dérivé du latin "troupeau". Rex, c'est le roi du troupeau. "G" est le symbole de la gravité ou l'accélération de la pesanteur (et aussi un point très sensible...).
Le lac du Jourdain (lac de Van) était très salé, comme la mer morte. On flotte beaucoup mieux sur de l'eau salé. Peut-être Jésus a marché sur un gros bloc de sel qui a donné l'impression qu'il marchait sur l'eau ? En tout cas, couché, il ne pouvait que flotter ; debout, à moins d'être très léger et d'avoir un super équilibre, cela semble difficile, mais pas impossible.
C'est Archimède (287-212 avant J.-C.), le savant grec, qui nous a donné la réponse il y a bien longtemps déjà. Lorsqu'il a découvert l'existence de cette force verticale, dirigée du bas vers le haut, que subit tout corps plongé dans un liquide. Une force égale au poids du volume de liquide déplacé. Une force que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de poussée d'Archimède.
La force verticale a été nommée Jésus par ceux qui ont cru ce qu'ils voyaient. Il est possible que Jésus ait voulu raconter l'enseignement d'Archimède et même qu'il ait voulu le prouver aux gens qui le suivaient pour l'écouter parler et transmettre ses connaissances.
Autre chose d'important :
La tradition du pays porte que le berceau de Moïse s'arrêta devant le Mekias, ancien château bâti à la pointe d'une île située entre le vieux Caire et Giza. Cet édifice tombe en ruine. On y voit de bien conservé qu'un bassin carré, creusé à la profondeur du Nil, avec lequel il communique par un canal. Du milieu de ce bassin s'élève une colonne de marbre qui sert à marquer les divers accroissements du fleuve. Aussitôt qu'il commence à croître, des crieurs publics vont soir et matin consulter la colonne, et proclament dans les rues du grand Caire la hauteur journalière de l'eau. Lorsqu'elle est à un certain période, on fait de grandes réjouissances, on coupe les digues, et le Nil arrose les campagnes. Le mot mekias signifie mesure d'eau.
Source : https://fr.wikisource.org/wiki/Coran_Savary/028