Le hasard est un principe dont nous ignorons la provenance, la cause et qui déclenche un évènement que nous ne pouvons ni prévoir ni prédire. 

On attribue souvent le hasard au destin, à une puissance supérieure à la volonté humaine.

La coïncidence est la survenue de deux ou plusieurs évènements, quasi égalitaires dans leur quantité, au même lieu et au même instant, mais qui ne seraient pas reliés par une cause commune. 

Elle est une expression complexe dont nous n'avons pas décrypté les techniques, pour lesquelles nous n'avons pas d'explications théoriques directes.

En informatique, l'opérateur logique appelé coïncidence peut se définir par la phrase suivante : « la sortie est VRAI si et seulement si les deux entrées sont identiques ». Qu'est-ce que cela signifie ?

Les deux entrées sont-elles d'un seul côté ou des deux côtés ?

On entre et on sort par la porte. On m'a toujours appris que l'on entre à l'intérieur et on sort à l'extérieur, mais serait-ce moins vrai que d'entrer dehors et de sortir dedans ? On entre au chaud et on sort dans le froid, mais rien ne nous empêche d'entrer au frais (clim) et de sortir au  chaud (soleil).

Si en logique classique, deux propositions X et Y  sont dites logiquement ou simplement équivalentes  quand il est possible de déduire Y  à partir de X et de déduire X  à partir de Y, alors, comme en calcul des propositions, qui revient à dire que X et Y ont même valeur de vérité, l'entrée et la sortie ont même valeurs de vérité. Elles sont soit toutes les deux vraies, soit toutes les deux fausses. Que j'entre par un côté de la porte ou de l'autre, un côté ne sera vrai que si les deux côtés sont identiques. Cela veut dire que si un coté est vrai alors les deux côté le sont et à contrario, si un côté est faux, ce sont les deux qui le sont.

Comment comprendre le comportement et la nature du hasard et des coïncidences ? C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, à moins de mettre en évidence la nature ondulatoire de sa lumière. Pour résoudre ce problème, on peut utiliser l'expérience des fentes de Young.

La longueur d'onde est-elle la même sur les deux entrées ? Est-ce que la fréquence d'entrée est identique à la fréquence de sortie ? Les chemins sont-ils les mêmes pour l'entrée comme pour la sortie ? Les couleurs ont-elles des ombres ? Et la longueur du trajet pour sortir et pour entrer est-elle pareille ?  Les ondes, qui interagissent entre elles se sont-elles additionnées ou se sont-elles annulées ?

 En physique, le vecteur de Poynting est la densité de flux liée à la propagation de l'onde électromagnétique. Sa direction est la direction de propagation. On le note Π → , S → , R → ou N → .

Le flux du vecteur de Poynting à travers une surface (fermée ou non) est égal à la puissance véhiculée par l'onde à travers cette surface. Le module de ce vecteur est donc une puissance par unité de surface, c'est-à-dire une densité de flux d'énergie ; il est homogène à un éclairement énergétique et à une exitance énergétique et, dans le Système international (SI) d'unités, il s'exprime en watts par mètre carrés.

Que la porte soit fermée ou ouverte, l'entrée et la sortie sont toujours vecteur de la possibilité du passage. Ce qui me fait immédiatement penser aux portes temporelles, une éventualité hasardeuse pour le moment, que nous comprendrons peut-être le jour où une coïncidence verra arriver une personne au même instant où une autre partira du même lieu pour se rendre là où va la première. Arès tout, il y a toujours un bouton sur lequel il faut appuyer pour enclencher le courant ou le disjoncter !

En effet, en électricité, une ampoule peut être allumée ou éteinte par deux interrupteurs placés près de deux entrées. Ces deux interrupteurs peuvent soit allumer soit éteindre l'ampoule, quelle que soit la position de l'autre interrupteur. Pour obtenir une telle fonctionnalité, on doit brancher les deux interrupteurs afin de former un opérateur XOR. C'est le montage dit « va-et-vient ».

L'évidence de l'intuition laisse apparaitre la connaissance dans une mise en perspective dont les multiples aspects ouvrent la porte aux potentiels de vérité unique et multiple, individuelle et collective.

La vérité n'existe pas, mais elle est omnipotente, elle est nulle part et partout. La vérité peut se modifier à tout instant par ceux qui la manipulent et qui provoquent l'incertitude pour les autres, mais elle peut aussi se révéler par des données ou par l'intuition.

La vérité n'existe pas, mais les faits existent et ils sont vrais ou faux.

Les tables de vérités sont utilisés pour dire si une proposition est vraie, c'est-à-dire "logiquement valide", à condition de savoir lire les tables de mu (mutations et multiplication), euh, pardon, les tables de vérités.

XOR correspond à l'identité de la vérité

Cependant, l'impression de vérité ne la valide pas forcément.

Petit clin d’œil ci-dessous