75- Le PI d'Horus

05/02/2025

En examinant les caractères grecs, j'ai remarqué que non seulement la lettre « P », dit "PI" correspond à l'emblème mathématique « π », mais que, de plus, ce dernier ressemble étrangement au motif sous l'œil d'Horus (et non l'œil de Râ). J'ai donc pensé qu'un mystère pouvait se cacher derrière cela. Ainsi, munie de mon pinceau d'archéologie linguistique, je me suis mise en quête de réponses. 

L'Œil d'Horus, aussi appelé Oudjat est souvent représenté avec une barre horizontale sous l'œil et deux lignes verticales en dessous, le hiéroglyphe de l'œil d'Horus partage la même architecture que la lettre « pi ». Cette lettre a donné son nom au célèbre nombre mathématique dont le symbole représente le rapport entre la circonférence et le diamètre d'un cercle.

Donc la mesure de « π » et sa notion d'enveloppement, de limites, de frontière, est comme le regard qui embrasse un ensemble et cerne une réalité plus large, une vision plus globale. 

Si « π » est la périphérie, alors il ne se contente pas de mesurer un contour, il définit un champ de vision. 

Cela pourrait changer la façon dont on interprète certains symboles. Et cela pourrait signifier que le « π » mathématique joue un rôle autant dans la mesure de notre oeil que dans la voie de sa vision. 

« π 2r» = « π d»

Selon "Lumni" (dans la vidéo ci-dessous), si la lettre grecque « π », représentant le nombre irrationnel pi, n'existait pas, il n'y aurait pas de tables rondes, pas de roues en mouvement, pas de pleine lune, pas de PI-r1 ni de PI — r2 (à part me faire penser à Pierre, ne me demandez pas ce que cela signifie…), pas de problèmes insolubles, etc.

PI correspond à la constante d'Archimède. C'est à se demander si ce n'est pas lui qui a inventé la roue ? Ce nombre représente le rapport de la circonférence d'un cercle et son diamètre, invariant pour tous les cercles, dans un plan euclidien. D'accord, mais c'est quoi un plan Euclidien ? 

Plan Euclidien (espace et sous-espace)

Un plan Euclidien se définit comme un plan qui s'identifie à l'espace "affine", c'est-à-dire un espace sans angles ni mesures de distance. 

- Une mesure dans un espace sans mesure... Une mesure dans un espace vide ?

- Au commencement de la création, certainement...

- Si tout est créé, alors, si je me trouve en forêt, je suis la forêt ? Euh, non, le plan doit être réel. En d'autres termes, je ne suis peut-être pas un arbre, mais si je me trouve dans une forêt, je fais bel et bien partie de celle-ci, n'est-ce pas ?

- Si tu n'es pas terrien mais que tu es sur terre, alors tu fais partie de la terre.

- Si tu n'est pas français, mais que tu es en France, alors tu fais partie de la France.

Si ma nature se distingue de celle d'un arbre, lorsque je me trouve au milieu de la végétation, je deviens liée à cet environnement. Je peux me tenir droite contre un arbre, m'aligner sur son axe central, donc être dans la même direction que lui (parallèle), et me situer à son point d'équilibre, également appelé « barycentre ». Ce terme désigne le centre de la gravité de l'arbre, ou encore l'endroit où il se trouve. 

Cependant, je me demande si j'ai correctement compris cette idée. 

Selon sa définition, l'espace englobe non seulement les étendues, mais également la présence potentielle de sous-espaces. Je ne peux m'empêcher de penser au cosmos, ce qui m'amène à me questionner sur la possibilité d'espaces insoupçonnés au-delà de la matière noire, se dissimulant derrière celle que nous observons.

- Deux éléments/évènements coïncident (simultanés, alignés ou superposés) s'ils occupent la même dimension (s'ils se trouvent sur le même plan. 

- Deux sous-espaces affines parallèles (fortement) peuvent être soit confondus, soit être vides de point en commun. 

- Un sous-espace affine faiblement parallèle à un autre sous-espace affine est soit inclus dans le second, soit ne partage aucun point en commun. 

La cinquième proposition d'Euclide aurait suscité deux millénaires de controverses, ce qui aurait contribué à élever ce principe au-dessus du statut de simple énoncé mathématique. « On ne peut mener qu'une seule parallèle à partir d'un point donné. » Alors, quel est le message caché derrière cette affirmation ? Euclide aurait-il révélé l'existence des univers parallèles ? Quoi qu'il en soit, le principe d'Euclide pourrait bien être lié à une certaine perception de l'espace. 

Mais "PI", ce n'est pas seulement une histoire de circonférence, c'est aussi une histoire de périphérie.

« π », PI, est lié à la périphérie, et pas seulement au nombre (3,14…)

Quelle différence existe-t-il entre une circonférence et une périphérie ?

- En géométrie, la circonférence désigne la ligne fermée qui marque les limites d'un cercle. Sa longueur peut être calculée grâce à la formule 2πr, où r représente le rayon du cercle. Elle se tient au bord de ce dernier.

- En revanche, la périphérie renvoie plutôt à l'enceinte, soit la partie externe entourant un corps. Cette notion n'est donc pas limitée aux seuls objets sphériques. Elle correspond à l'espace extérieur ou limitrophe d'un objet ou d'un lien. En grec ancien, PI signifie « Periphéria », qui vient du mot « péri » (autour) et « phéro » (porter ou transporter).

Le contour d'un cercle est toujours un peu plus de trois fois son diamètre. Ce "un peu de plus de trois", c'est π (3.14). Tous les cercles, quelle que soit leur taille ont cette même proportion entre leur diamètre et leur périmètre. En clair, π est un nombre d'or, un nombre universel qui existe partout dans la nature, des planètes aux gouttes d'eau en passant par les ondes lumineuses. Sans π, on ne pourrait pas savoir, combien de fois le diamètre "rentre" exactement dans la circonférence, on ne pourrait pas calculer la longueur exacte du cercle. π est donc indispensable à la création.

Ce nombre est étroitement relié au concept de périmètre, d'enveloppe circulaire et correspond bien à l'idée d'une vue globale, d'une prise en compte totale, comparable à celle qu'offre l'œil d'Horus. 

Conseil : Si vous devez effectuer une recherche spécifique sur une carte et que vous tracez un cercle en vous disant qu'il faut chercher X ou Y à l'intérieur de ce cercle, ajoutez un rayon de recherche au périmètre prévue. Je pense à la formule jamais deux sans trois, qui fait maintenant sens avec PI.

« π 2r» = « π d»

On risque de me reprocher d'associer des idées non liées, mais moi, quand je vois ces formules, je pense à Pierre (ou pi-aire) et à pied. D'ailleurs, « pied » contient « pi »… même si (oui, je sais), le mot « pied » vient du latin « pes, pedis », donc n'est pas directement lié à « pi ». Mais j'aime jouer avec les sons et les symboles, c'est ma nature. De plus, le « pied » servait autrefois de référence en matière de mesure, longtemps avant l'avènement du système métrique. Coïncidence ? Je ne crois pas ! Les mesures du « pied » impliquent souvent notre fameux « pi ». En effet, quiconque se déplace en effectuant un cercle, que ce soit un groupe de derviches tourneurs ou simplement un individu exécutant une chorégraphie, implique nécessairement PI, sans s'en rendre compte.

En poésie, on utilise le pied comme unité rythmique, un peu comme si le PI constituait une vérité universelle en mathématique. On pourrait donc dire que le π correspond au « pied » des cercles, à leur base structurelle !

Ce qui m'a étonnée, c'est de découvrir que ces liens ne sont pas seulement localisés à l'extrémité inférieure (pied), mais qu'ils s'étendent aussi jusqu'à la région buccale. Les Indiens avaient la capacité de produire des anneaux de fumée avec leur bouche, et on considérait comme très habile celui ou celle qui pouvait en créer un à l'intérieur d'un autre.

La lettre Pi tire son origine de la lettre correspondante de l'alphabet phénicien, qui pourrait provenir d'une écriture utilisée au Sinaï il y a plus de 3500 ans, elle-même peut-être issue de certains hiéroglyphes égyptiens. Le hiéroglyphe à partir duquel la lettre phénicienne serait dérivée voudrait dire « bouche », "𐤐". 

PI = bouche ? Allons-nous maintenant aborder le verbe de PI ? Après les récits sur les pieds de nez, allons-nous parler de « pied d'œil » ou de la parole du regard ? Peut-être est-ce la raison pour laquelle les Asiatiques disent que les yeux reflètent l'âme. Est-ce que parler avec les yeux est une forme de communication ? Les yeux expriment-ils un langage à part entière ? Hum, ça devient philosophique tout ça…

La coudée, le cou, la koppa

En suivant le fil de ma pensée, je me retrouve à considérer la « coudée » comme une autre unité de mesure. Je me demande même si elle ne serait pas liée au cou ou au diamètre. Après tout, qui sait ? « Cou » et « coudée » se ressemblent phonétiquement.

Cependant, la coudée vient du mot latin « cubitus », qui veut dire « coude » (ce qui m'évoque le mot « cube »).

Dans l'Antiquité, notamment en Égypte, en Mésopotamie, chez les Hébreux et les Grecs, la « coudée » servait d'unité de mesure, équivalente à la distance entre le creux du coude et le bout du doigt. Cette mesure variait légèrement selon les civilisations, allant généralement de 45 à 52 centimètres. Je me demande si des tailles universelles existent, comme pour les pointures de chaussures. On m'a dit un jour que la longueur de mon pied correspondait à celle de mon bras. Effectivement, cette déclaration se vérifie pour moi sur le plan personnel. Le cou constitue une articulation pivot, qui nous permet de tourner la tête et d'effectuer des mouvements circulaires. En Égypte, les pharaons et les dieux portaient souvent des colliers larges qui évoquaient des cercles parfaits. Le coude correspond à une autre articulation. En étendant notre bras devant nous, l'avant-bras dessine une ligne semi-droite, semblable à un rayon. En joignant nos deux coudées de bras, majeur contre majeur, coudes relevés à l'horizontale, nous pouvons former un diamètre et un demi-cercle. On peut imaginer que la « coudée » ne servait pas qu'à mesurer des fils de laine ou des cordes marines, mais qu'elle pouvait aussi représenter une méthode pour construire des cercles sans compas, simplement en tendant deux bras opposés. 

En revanche, je ne comprends pas pourquoi les Égyptiens possédaient une coudée royale mesurant 52,4 centimètres, ce qui équivaut à environ 1,50 mètre de circonférence. Parce que cela leur donnait un diamètre d'un mètre et demi ? Certains croient qu'elle était liée à des proportions mathématiques particulières, telles que pi (π) et le nombre d'or (φ). Ce dernier étant représenté par la lettre grecque « phi » et présentant une étonnante ressemblance avec la lettre « nuque » de l'alphabet copte, notée « 𐤒 » ou "ϙ" (koppa, la coupe). En slavon d'église, le symbole représente le chiffre « 90 », ce qui correspond au neuvième mois de grossesse (après le « O »). De plus, c'est la coudée royale qui servait à ériger des monuments importants.

On peut aller plus loin en supposant que la coudée constitue une unité de mesure intermédiaire entre l'homme et les proportions universelles (cercles, carrés, pyramides) ; un moyen d'unir le corps humain avec l'univers, comme dans le nombre d'or et le Vitruve de Léonard de Vinci. C'était également une méthode intuitive pour mesurer des diamètres et des périmètres pendant l'Antiquité, longtemps avant l'introduction des formules de π. Il est possible que quelqu'un ait inventé le hiéroglyphe de l'œil d'Horus en connaissant la formule de π bien avant sa découverte. Quelle est l'origine de l'inspiration d'Archimède, qui a décidé de symboliser la constante 3,14 par une représentation semblable à une porte-π ? Qui, et pour quoi ? Peut-être qu'il avait déjà vu ce symbole quelque part et qu'il y avait réfléchi.

Le PI grec minuscule (𝛑) ressemble beaucoup au dessin sous l'Oeil d'Horus, on ne peut pas le nier. Elle est une forme dite "bas de casse" utilisée en mécanique céleste, en astrodynamique, en distance comobile...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pi_(lettre_grecque)#/media/Fichier:Greek_lc_pi_icon.svg

Traductions et interprétation

Je ne vais pas ici me lancer dans un long discours sur la lettre K. J'ai cependant découvert que, selon les lieux et les époques, le Koppa est devenu le kappa. Sa forme graphique et son interprétation ont également varié d'un pays à l'autre. Koppa ou Qopa (nombre d'or phi, la nuque, la coupe) est devenu la lettre hébraïque ou syriaque Quof ou Quaf en arabe. Quant aux différences entre majuscule et minuscule, elles se démarquent nettement : en grec, on observe deux représentations distinctes, soit en minuscule (ϙ, ϟ), en majuscule (Ϙ, Ϟ), avec un trait horizontal pour certains, tandis que pour d'autres, c'est un éclair ou même un « z » qui remplace l'œil. Dans certains textes, cette lettre s'est transformée en une sorte de « ç » (un c avec une cédille), qui peut être facilement confondue avec le digamma ou stigma (Ϛ). Cette même lettre, dans l'alphabet gothique, la lettre latine « u » est la lettre mu « μ » en hébreu (Ҁ → μ ), aboutissant ainsi à Ϟ, qui finit même par rappeler l'aleph (א) ou la lettre nun (N).

Combien de mots différents ont-ils été mal interprétés, leur sens initial ayant subi une transformation complète ? Combien de fois les scribes ont-ils mal orthographié des lettres par inadvertance lorsqu'ils transcrivaient des paroles suffisamment sacrées pour mériter d'être conservées ? Combien ont subi une inversion, comme le K phénicien et le K grec, ou le A phénicien et le A grec ?

Exemples :

  1. /p, k/qui sont devenus (Φ, Χ)
  2. L'échange entre les sons [K, C], conduisant à [G] (Kamel, le nom du chameau, est devenu Camel, puis Guimel)
  3. Le prénom Kaddija, écrit dans une langue, se dit dans une autre : gaïddja (ga-iddja) signifie « je suis passée », prétérit de ga-gaggan) ou « gadja » chez les gitans (si je ne me trompe pas).
  4. Dans la Bible, le veau d'or est-il vraiment un veau, ou pourrait-il s'agir d'un « wau », qui dériverait du waw ? 
  5. Agar est-il réellement le prénom d'une femme ou au commencement était-il celui d'une tribu ?

https://www.universalis.fr/dictionnaire/wau/ :

Dans la province du Bahr el-Ghazal (Soudan du Sud), entre Wau et Malakal, dans le bassin central du Nil, vivent, au début du xxie siècle, environ 2 millions de Dinka, étroitement apparentés à leurs voisins du Nord-Est, les Nuer. Ils sont divisés en un très grand nombre de tribus dont les principales sont celles des Agar, des Aliab, des Bor, des Malual et des Rek.

 Personnellement, je pense qu'on devrait remettre en question certaines de nos certitudes.

Selon notre lieu de naissance, l'apprentissage de notre langue maternelle, il peut être difficile de prononcer certains sons étrangers. Certains arrivent à parler en utilisant le fond de leur gorge, tandis que d'autres n'y parviennent pas. Les Espagnols roulent le « R », mais ce son est impossible à produire pour certaines personnes. Par conséquent, le « Q/K/C » s'est transformé en « G ». On doit se rappeler de ne pas accuser les gens d'avoir voulu déformer certains écrits. Cette histoire concerne l'accent et les capacités de traduction, ce qui peut entraîner des malentendus et des erreurs. Mais certaines erreurs peuvent avoir de terribles conséquences. 

Quelqu'un m'a récemment raconté comment, à la suite d'une mauvaise traduction/interprétation d'un terme par un médecin, il avait mis du temps avant qu'on lui diagnostique un problème de santé dont il souffrait depuis plusieurs années. On avait initialement conclu que tout allait bien chez cette personne, qui souffrait pourtant en silence, attribuant ses symptômes à une somatisation plutôt qu'à une véritable maladie. Si la traduction médicale s'était avérée correcte, elle aurait épargné une décennie de douleur. 

Le pouce

Encore un exemple : Le terme « mil » employé dans certains écrits anciens désigne-t-il le grain à moudre de la famille des céréales ou la découverte de l'unité de mesure de l'angle dans un plan, puisque le « mu » (μ) est le symbole du préfixe micro, comme dans le micromètre ? Sachant qu'un mil correspond à un millième de pouce, peut-être devrions-nous plutôt y voir l'unité de mesure d'un angle ? Après le pied et le coude, le pouce s'est également imposé comme une unité de mesure. Le corps humain semble bel et bien servir d'instrument de géométrie. 

666

 Le nombre de la bête de l'Apocalypse de Jean est noté, en numération grecque, χξϛʹ (khi, xi, stigma), soit 666 en numération indo-arabe. Que signifie "stigma" ? Par forcément un signe en tant que cicatrice sur le corps... Le stigma est une mesure du temps, mais auparavant ça s'écrivait "sigma-tau" et un jour, pour gagner du temps, quelqu'un s'est dit que le t au milieu ferait l'affaire.  Le sigma, c'est la micro-seconde et le tau, c'est la particule élémentaire. C'est peut-être pour ça que certains scientifiques parlent de la particule de Dieu. Tau signifie  également le "taux" ou encore le nom d'une rivière (Haute Tanana) ou celui d'une langue parlée en Alaska. L'étymologie exacte de "tau" serait une abbréviation de "tubulin-associated unit ». "Tubulin" serait un mécanisme qui adapterait ses fonctions sur les micros-tubules des cellules neuronales et ce sont elles qui provoquent la dégénérescence. On peut envisager que les maladies tels Alzheimer, Parkinson ou autre atrophie du cerveau est une fin des temps, si on considère que l'on vit dans la conjugaison de la racine PPF (passé, présent, futur) et plus si connexion d'apprentissage à la compréhension (fini, pas fini, simple, compliqué, indicatif, impératif, proche, lointain, antérieur, rétroactif, etc. ). Ah oui, petite info : en ancien français, tau se disait "tahu" qui signifie "cercueil"... 

Le stigma représente une fin de vie avec une dégénéresence des temps composés, mais si on prend sa traduction grec, alors le sigma est une sommation (Σ ) à la réflexion (Ͻ). 

Il est l'un ou l'autre et il est les deux. 

Le Xi est un pilier (Djed R11, pour mobilier et emblème sacré, mais aussi pour l'idée de la mesure)

Le XI est un pilier central. Il correspond au chromosome X, à l'énergie Chi, à l'aura du Khi (du qui…), et si elle se détériore, alors oui, c'est la fin de l'humanité. Plus elle souffre au fil du temps de l'horloge composée, plus elle se conditionne (consciemment ou non) à sa propre disparition. Cela peut être assimilé à une somatisation. Combien de femmes ont subi des hystérectomies ou d'autres interventions en raison de masse d'anxiété dans leur matrice ? Le chromosome X met l'humanité au monde, mais si cette dernière est maltraitée ou maltraitante, elle cesse d'évoluer. En une fraction de seconde, un micro-déplacement du code génétique peut survenir, faisant du tau de X le stigmate de sa dégénérescence, la marque laissée sur sa fleur, une plaie humaine. On pourrait presque l'appeler « la loi du X² », réinterprétée par le nombril de son ombre (nombre, si on y pense).

Le chiffre de la Bête (666) évoque l'ombre du nombril, représentant l'égo, face aux cicatrices laissées sur le potentiel vital partagé par tous les êtres humains, hommes et femmes, symbolisé par le Xi. Ce choix numérique pourrait ne pas être anodin, puisque la lettre Xi découle de la lettre « samech » (qui se prononce « sa mère » ou « ça mer » (petite pensée pour Merka) dans l'alphabet phénicien.

Maintenant, si je dois traduire la signification du chiffre 666 selon la signification des codes des nombres 600, 60 et 6 liés aux langues anciennes, alors en résumé, : 

D/R 11 = L'énergie (ou l'humeur)  humaine est sommée 

à la réflexion et à la mesure, 

afin d'assurer sa stabilité et sa durabilité.

Juste au cas où, je tiens à répéter que je n'avance pas que ce que je dis est une certitude. Ce sont mes interprétations que je fais en fonction de mes associations d'idées. 

Mais revenons à nos moutons. Discuter des nombres π, κ, ξ, c'est bien, mais mon intention initiale était de mentionner le π de l'œil d'Horus. 

Qui est Horus ? 

Le cyclope Polymène

C'est le récit d'une légende grecque qui m'a fait penser à Horus et commencer des recherches sur lui. L'histoire est celle de Polymène, un membre du peuple des Cyclopes, une race de créatures à un œil unique situé entre les sourcils. Elles étaient connues en tant qu'artisans du métal, pour leur habileté à forger la foudre pour le dieu Zeus, mais certaines sources les décrivent plutôt comme des monstres non civilisés et sauvages.

Dans l'Odyssée d'Homère, Ulysse arrive sur une ile de l'Odyssée avec ses compagnons qui se firent dévorer par le cyclope Polyphème, un géant sauvage qui vivait tranquillement dans sa grotte jusqu'à là. Par peur d'être tué à son tour, Ulysse l'enivre avec du vin, puis fait chauffer un pieu qu'il plante dans l'œil unique du cyclope endormi, l'aveuglant définitivement. 

Ces gros monstres étaient des forgerons, des bâtisseurs (ils ont construit des puits à Argos sans eaux, les murs de Mycènes, la porte des Lionnes, etc.), mais aussi des pasteurs, se contentant de subsister grâce à l'élevage. Avant l'évolution des humains, peut-être que nos deux hémisphères n'étaient pas séparés et que c'est pourquoi les hommes n'avaient qu'un œil pour un seul cerveau. On nomme maintenant cette anomalie congénitale « holoproencéphalie » qui résulte de la séparation incomplète des hémisphères cérébraux et donc des yeux. On l'appelle aussi « cyclopie ». Cette malformation touche autant les êtres humains que les autres animaux. Cette malformation résulte de la fusion des deux orbites et la présence d'un seul œil au milieu du front. Ce trouble a inspiré plusieurs légendes. Mais si on s'en tient aux légendes de Crète, les ogres qui se nourrissaient de chair humaine avaient un troisième oeil derrière la tête et pas sur le front... (les « triophtalmes » ). Si l'histoire est réelle, alors, il a pu y avoir une confusion entre le vrai monstre (qui venait d'on ne sait où) et le malade innocent. Du coup, je me demande pourquoi une planète en orbite près d'Alpha du Centaure, s'appelle "polyphème" (ou Coeus). Polyphème signifie beaucoup (poly) de paroles ou de cris... (phème). On peut se demander qui criait réellement, eux-mêmes ou leurs proies ?

Cyclope, emprunté au latin cyclops, est lui-même issu du grec kýklōps, qui, au singulier, signifie Polyphème, mais, au pluriel, désigne des géants ayant un seul œil rond au milieu du front. Ce terme provient de la combinaison de κύκλος/kýklos (« roue », « cercle ») et de ὤψ/ṓps (« œil »), qui se traduit par « œil rond » ou « qui roule son oeil » . Ce dernier évoque le soleil, souvent qualifié de « œil du ciel ».  

L'histoire d'Horus

À l'instar du mythe cyclopédique, Horus perdit également un œil. À l'inverse des Cyclopes, qui naissent avec un seul œil, Horus possédait initialement ses deux yeux. Selon la légende, il combat, le meurtrier de son père, son oncle Seth, qui lui creva un œil et le divisa en six parties. Cela évoque le décès d'Osiris, le père de l'intéressé, qui fut démembré, puis que sa mère Isis rassembla. Puis, grâce à une résurgence d'énergie phalucienne, elle parvint à accomplir l'exploit de donner vie à un être à partir de la mort : Horus. Ensuite, une tragédie arrive, comme si le drame familial devait se répéter, mais cette fois-ci avec une différence de taille : Horus conservera son corps. Seul son œil fut arraché, coupé et éparpillé en plusieurs morceaux. Heureusement, le dieu Thot sera en mesure de le reconstruire, et la vue d'Horus sera encore plus perçante qu'avant. D'où, sans doute, la tête d'aigle qui sert d'animal totem pour le représenter et la signification "lointaine" de son nom, parce qu'il eut par la suite une vision "de haut".

Le dieu Thot a donc pu recoller l'œil grâce aux fragments récupérés, mais il lui manquait encore un morceau, qui fut remplacé par une substitution divine. L'œil d'Horus servit non seulement de symbole religieux, mais également d'unité de mesure, car chaque segment de cet œil complexe représentait en réalité une fraction, totalisant 63/64, chaque étant unique : 1/2, 1/4, 1/8, 1/16, 1/32, 1/64, sauf pour la fraction manquante, 1/64. Le reste, soit 1/64, était réservé à Thot, divinité associée à la sagesse. Le substitut mystérieux de cette portion aurait permis la restauration de l'œil blessé d'Horus. L'absence originelle symbolise la connaissance ou l'infini de ce qui dépasse notre compréhension. 

Le pied dans l'œil à défaut du compas

Quelques paragraphes plus tôt, j'ai utilisé l'expression « À l'instar du mythe cyclopédique ». J'ai alors eu l'intuition qu'un phénomène plus grand se déroulait, mais je n'ai pas encore tout compris. Le mot « cyclopédique » est lié à « encyclopédique ». Pourquoi trouve-t-on l'appellation « cyclope » au cœur du titre d'un dictionnaire ? Est-ce que tous les mots sont regroupés sous un seul et même regard, ou bien un œil unique les surveille-t-il ? Selon une perspective différente, l'encyclopédie me fait penser à « cycle » en référence à « cyclo » et à « pédique » en lieu et place de « orthopédique ». J'ai mentionné ça hier. Aujourd'hui, je peux maintenant expliquer pourquoi je crois que le pied et l'œil entretiennent un lien. Cependant, je n'y comprends rien. On ne se met pas le pied dans l'œil ! On parle plutôt de doigt dans l'œil. Ou bien, c'est comme pour l'expression « avoir le compas dans l'œil ». Peut-être que, dans l'Antiquité, « avoir le pied dans l'œil » signifiait détenir la capacité de mesurer avec précision sans avoir besoin de recourir à une vérification, car un simple coup d'œil suffisait pour atteindre sa cible ?

Je reviendrais dessus si nécessaire... 

Œil de Oudjat 

En effectuant quelques recherches sur l'unité de mesure de notre fameux œil de Oudjat, j'ai découvert que le code hiéroglyphique de la partie de la conjonctive correspond à « D11 ». Ce même code se retrouve sur le mobilier funéraire des pyramides et les emblèmes sacrés, mais la section D concerne également "les parties du corps humains" (dans la liste de Gardiner), dans lequel sont référencé le XI, le CHI, et le QI, faisant ainsi savoir à la population que l'humanité elle-même est emblématique du sacré… 

 Un œil oudjat constitue l'idéogramme ou le déterminatif de l'œil sain (wḏȝt). Il symbolise l'idée de « voir » (ptr). Ce symbole égyptien sert à désigner un mot complet en un seul caractère. L'œil sain, c'est l'œil de la divinité (ˁnḫ.t).

Selon la mythologie, l'œil Oudjat possédait des propriétés protectrices, empêchant les malheurs de survenir, ralentissant leur progression ou atténuant leurs effets. Les Grecs décoraient l'avant de leurs bateaux avec un œil d'Horus, ce qui assurait non seulement une bonne visibilité, mais aussi la capacité de maintenir le cap. Cet œil ne se contentait pas de rétablir une vision globale, il permettait également de percevoir des détails habituellement invisibles.

Djoser et la pyramide à degré

Un complexe funéraire

Tout a commencé lorsque, alors que je cherchais des informations sur le Djet DR11 en tant que pivot, je suis tombée sur le vaste complexe funéraire de Djéser, également orthographié Djoser. Il est considéré comme étant le premier et le plus grand bâtiment funéraire jamais érigé en Égypte. Peut-être ont-ils même inventé le concept de cimetière avec cette découverte. Des milliers de jarres et de coupes ont été découverts au fond des galeries. C'est ainsi que j'ai appris qu'avant de s'appeler des pyramides, ces majestueux bâtiments se nommaient « mastaba », ce qui m'a automatiquement fait penser à mon article précédent sur la « Merckaba », puisque les deux mots finissent tous les deux par « aba ». J'ai donc cherché à en savoir plus, et j'ai découvert que « aba » veut dire « père ».

Dans l'univers du son, il est possible de constater que, lorsqu'on passe d'une langue à une autre, la mère (mer) et le père (aba) encerclent la lettre « k » (ka, la vie, le chi, le qui). Bien sûr, on m'objectera peut-être qu'il est malvenu de passer d'un préfixe dans une langue à un suffixe dans une autre. Toutefois, en adoptant une lecture phonético-symbolique qui dépasse les simples étymologies linguistiques, il est possible d'atteindre des archétypes plus universels, n'est-ce pas ? Le k, ki (force de vie, énergie) en Extrême-Orient, est l'énergie vitale, et en grec, il est lié au mouvement, comme dans « kinésis ». Quelque part, ça se rejoint dans une structure cachée que je ne peux expliquer scientifiquement parlant. La mer (l'eau, l'origine, la matrice) en Égypte peut évoquer « Meri », comme dans Meritaten, « l'Aimée d'Aton ». Quant à Aba, il représente le père (principe structurant, conscience, royauté).

En appliquant cette idée au mot « Mastaba », le préfixe « mas » suggère solidité et structure, tandis que le suffixe « taba » renvoie au toit, à la voûte ou à quelque chose de fixe et stable. Cette association renforce donc l'idée d'un endroit immuable, enraciné dans la Terre, plutôt qu'un véhicule cosmique, tel qu'on pourrait imaginer la Merkaba. Quoi qu'il en soit, « mas » connut un grand succès ! L'origine de l'expression « faire un tabac » pourrait remonter à l'antique Mastaba. Et ça me fait penser au Dieu Mars, allez savoir si ça ne vient pas de là aussi…

La Mastaba symbolise un passage terrestre de stabilisation (associé aux rites funéraires et à l'enracinement).

La Merkaba représente un passage céleste d'élévation (lié à l'évolution spirituelle).

Mais je ne veux pas me décentrer. Je reviens au sujet initial.

Le mastaba c'est la préhistoire de la pyramide

Le mastaba a révolutionné l'architecture en servant de premier bâtiment construit en pierres taillées. C'est un empilement de pierres disposées horizontalement et remplies de libages de calcaire, avec une surface en calcaire de Tourah. L'appellation M1 désigne ce premier mastaba.

L'architecte décida ensuite d'élargir la base du monument de huit coudées supplémentaires sur les quatre côtés. Cette extension se situait légèrement sous le toit du premier mastaba. On l'appelle M2. On a agrandi le mastaba une deuxième fois, mais seulement sur sa face orientale (M3). Dans cette extension, on a creusé onze puits, atteignant une profondeur de 33 mètres. Chacun d'entre eux s'ouvre sur une galerie (I à XI) creusée à l'horizontale et s'étendant sur environ vingt mètres. On a réservé les cinq premières galeries pour l'inhumation de membres de la famille royale.

Voilà, je comprends maintenant comment on a construit les pyramides. On n'a pas eu besoin de soulever de grosses pierres ni de les déplacer avec des milliers d'hommes. Ils ont fait comme pour la fabrication des briques. Ils ont commencé par une base, puis une enceinte et ils l'ont remplie de calcaire qui a servi de ciment. C'est sur place qu'ils ont réalisé cette prouesse, ce qui explique la perfection des formes. Ils ont dû déplacer des seaux remplis de petits gravillons, que leurs collègues avaient broyés sur place. Comme pour l'œil d'Horus, ils ont fragmenté la pierre en plusieurs morceaux, les ont récupérés et ont reconstruit la pierre. C'est ainsi qu'ils ont érigé les mastabas, puis les pyramides. Trois types différents de mastabas se sont succédé, suivis par trois variétés distinctes de pyramides, avant qu'on ne parvienne enfin au résultat idéal. 

Wouah ! Quelle découverte ! 

La première pyramide enveloppa la troisième mastaba, avec un escalier pour que le pharaon "accède au monde divin". la seconde pyramide fit agrandi deux fois en additionnant des tranches horizontales (dites en lits déversés), d'abord en p1' puis en p2. Et mon petit doigt me dit que c'est P1 qui a donné PI... et que P2 a donné 2 PI...r ... Ah ah ah ! 

La vision PI ou la tangente du regard

Etymologie du mot Pyramide

Le mot « pyramide » vient du grec ancien πυραμίς, -δος / puramís, -dos transmis au latin sous la forme pyramis, -idis mais son origine est incertaine. Certains la rattachent à la notion de feu (racine grecque pyr) et citent Platon qui voyait dans le tétraèdre régulier (en forme de pyramide) le symbole du feu. D'autres y voient un mot dérivé du grec « puros » signifiant « froment » rappelant que c'était la forme des greniers royaux. D'autres y voient encore une déformation de l'égyptien, soit du mot « haram (ou rem) » qui s'écrit h-r-m en égyptien et qui est leur nom en égyptien, soit du mot « pr-m-ous » qui désigne en égyptien une ligne déterminante de la pyramide. D'autres enfin signalent que ce mot « pyramis » désignait en grec un gâteau de miel et de farine.

On peut deviner au moins un aspect de l'étymologie que je suggère. Le mot « pyramide » pourrait provenir du son « pi », qui représente le fameux rapport π, reliant le rayon au diamètre et à la circonférence. En suivant le raisonnement de pi, (quel qu'en soit le volume), on comprend que pi correspond à un nombre d'or. Je me demande si Pythagore était un homme d'or. 

Une histoire de visions, d'inclinations, de correspondances et de coordonnées cartésiennes

L'inclinaison (la pente) d'une pyramide traditionnelle s'élève à environ 51,503 5°, soit une valeur très proche de celle de la célèbre Pyramide de Kheops. Toutefois, je me sens peu motivée pour calculer les angles exacts des autres pyramides, ni même pour en chercher, car ça ne m'intéresse pas. Ce qui m'intriguait, c'était d'établir un parallèle entre l'œil unique et éteint pour toujours du Cyclope, la vision partielle (un œil sur deux) d'Horus, arrachée et fragmentée en plusieurs morceaux, mais finalement restaurée en une vision encore meilleure. Je souhaitais également établir un lien entre l'illustration de la lettre grecque pi, semblable au symbole hiéroglyphique représentant l'œil d'Horus. Par conséquent, j'ai déduit que ce message servait de code, semblable à ceux que nous avons envoyés dans l'espace au cas où une forme de vie extraterrestre le découvrirait, dans le but de lui dévoiler qui nous sommes et ce que nous sommes.

Expliquer tout en un symbole peut représenter une tâche ardue. Pourtant, celui qui y est parvenu a accompli un exploit digne des plus grands bonds réalisés par l'homme. La vision de l'œil ne se limite pas à sa circonférence, elle s'étend aussi sur sa périphérie et dans ses environs. Elle se déplace comme un œil d'Horus sur le sommet d'une pyramide qui observe tout autour d'elle, de haut en bas et de bas en haut. L'œil humain possède une structure visionnaire similaire à une pyramide, lui permettant de distinguer différents types de vision, que celle-ci soit progressive, rhombique ou lisse (Elle se trouve sous la pierre, sur la pierre et tout autour de la pierre. Suivez mon regard…).

Le regard a un rayon, un diamètre et une circonférence, et il fonctionne avec PI, comme n'importe quel cercle. On ne doit donc pas considérer comme un hasard la présence du son « PI » dans l'appellation « pyramide ».



PI offre une vision d'avenir : l'œil projette des points de vue intérieurs (introspection, imagination, anticipation), tout en limitant sa perception en fonction des phénomènes physiques (humeur intérieure, conditions météorologiques, évènements environnementaux). Il évalue la portée perceptible, tant visible qu'invisible.

Grâce à la PI, nous sommes en mesure d'analyser notre environnement en le représentant sous forme d'équations, souvent de manière inconsciente. Ces équations sont ensuite transmises à notre cerveau, qui peut ensuite les interpréter. Nous percevons tout ce qui nous entoure, à l'exception de notre propre tête, à moins qu'un miroir ou la réflexion d'autrui ne nous renvoie une image de nous-mêmes. Cependant, la fiabilité de notre interprétation de cette image peut être mise en doute.

PI c'est une Projection Intérieure du Périmètre Intelligent.

La vision périphérique permet de se repérer dans l'espace et de déterminer la position d'un point. C'est le fameux repère cartésien. Tout ce qui a une conscience a le PI qui lui permet de se repérer, que ce soit par automatisme, phéromones ou autres. Les consciences sont peut-être différentes d'une espèce à l'autre, mais elles font partie de chacune d'elle qui a des yeux pour voir, une bouche pour émettre des sons, des oreilles pour les entendre et une peau pour ressentir. Les oiseaux par exemple ont un sens de l'orientation très développé, car ils doivent naviguer dans les airs en effectuant des acrobaties aériennes et en évitant soigneusement les obstacles. Peut-être que c'est grâce à ces mêmes compétences qu'ils ont gagné le surnom de « piaf », un terme qui évoque la perspicacité de l'identité qui attire l'attention.

Un piaf curieux était déjà venu aux nouvelles. Posé sur la rambarde du balcon, il avait jeté un regard exploratoire dans la pièce. Constatant que ni les miettes de croissant, ni le fond de jus d'orange n'étaient au rendez-vous, il s'était envolé en piaillant de dépit.— (Denis Humbert, Une saison Caraïbe, Éditions Albin Michel, 2009, chap. 7)

Lorsque je pense à ce mystérieux PI, il me fait penser à un pont international, un portail reliant les gens entre eux. En mathématiques modernes, PI représente la multiplication de tout ce qui relève du domaine entier, réel et complexe. Les nombres ne sont pas les seuls éléments en jeu, même si PI constitue la clé des équations et inéquations que notre cerveau traduit en mots. Je suis convaincue que notre existence se situe au croisement du verbal et du numérique, tout comme dans l'émission « Les Chiffres et les Lettres », où les deux éléments sont indissociables. La lettre phénicienne représentant Pi, qui symbolise un concept mathématique, possède une profonde signification : elle évoque la capacité humaine à exprimer des idées abstraites par le biais du langage. Cette découverte, lorsqu'on y pense attentivement, peut paraître étonnante, voire perplexe. Cependant, elle révèle un éclairage captivant sur notre compréhension du monde. Utilisez le symbole « π » comme vous l'avez fait pour le signe Σ, qui représente une sommation. Ce chiffre clé résume les données visuelles, révélant ainsi la clef manquante, le troisième côté nécessaire pour calculer le périmètre d'un cercle et son angle tangentiel, ou encore pour analyser la profondeur de champ. En effet, π, souvent appelé « pilier de la vision », connecte tous les aspects de notre expérience sensorielle, reliant ainsi toutes les dimensions. PI constitue le pilier de la perception (pi-lier). Il relie les perceptions de plusieurs dimensions. C'est également le symbole de la constante d'Archimède.

En grec, « Pi » vient du verbe « peripherô », qui signifie « porter autour » et « circuler ». C'est donc une ceinture de proximité.

En Finnois, PI, c'est le pic, l'aiguille, l'épine (comme celle du pin), la vertèbre, en plus des mathématiques.

En anglais, PI représente un renversement, un arrangement inversé, un mélange confus ou un désordre, en plus de correspondre à une constante.

En créole, « Pi » veut dire « pur ». Dans certaines langues, on emploie « PI » pour parler de l'eau.

« PI » sert à relier des proportions, à faire correspondre des grandeurs.


Pithécusses... Ischia... ichthús, le « poisson »... 

Pithécusses ou la coupe de Nestor... Nestor, roi de Pylos, Dipulon, écriture en miroir.

Pylos, Navarin, bataille de Navarre. Lagune de Gialova : réserve d'oiseaux. Oiseau, Horus, faucon pèlerin.

Au nord de la baie de Navarin, à proximité du village de Giálova, se trouve la lagune de Giálova (ou lac d'Osman-aga), l'une des dix plus grandes de Grèce. Faisant partie du réseau Natura 2000 et classé comme lieu d'une beauté naturelle remarquable, son étang constitue un réserve ornithologique d'importance exceptionnelle en Europe pour les oiseaux migrant entre les Balkans et l'Afrique, et offre un refuge à environ 270 espèces d'oiseaux, comme les flamants roses, les ibis falcinelles, les hérons striés et cendrés, les grandes aigrettes, les aigrettes garzettes, les courlis, les pluviers dorés, les échasses blanches, les cormorans, les martins-pêcheurs, les combattants variés, les sarcelles d'été, mais aussi les goélands et les rapaces (faucons crécerellettes, balbuzards pêcheurs, faucons pèlerins et aigles impériaux)71. La lagune abrite également une espèce très rare, en voie d'extinction dans toute l'Europe, le caméléon africain. Un poste d'observation installé par la Société grecque d'ornithologie permet aux visiteurs d'en apprendre davantage sur la faune de la lagune et d'observer les eaux saumâtres peu profondes du lac; ils peuvent également y parcourir les chemins qui traversent les différents écosystèmes de la lagune.

Pyros, Eglise de la Vierge Myrtiodiótissa (vierge aux myrthes) et Eglise de la transfiguration du sauveur. Transfiguration pour quoi ? Transformation de la figure ? Transcendance de la figure ? Stop. Je vais trop loin (ou pas assez). 

Les oiseaux et Horus.

Les yeux donnent un visage et se complètent. On dit que l'œil de Ra (solaire) se trouve à gauche, et l'œil d'Horus (lunaire) à droite. Derrière chaque œil se cache une histoire de compétition, qu'elle soit fondée sur les liens du sang, l'amitié, l'amour, la politique ou la foi. Les querelles pour le pouvoir ont souvent donné lieu à des rivalités et des affrontements, voire à des conflits armés, comme je le constate en lisant « Les Rois ». Des « rois » de pouvoir causent du chaos et font régner la désolation pendant toute leur période au pouvoir. D'autres hommes cherchent à mettre fin à ce chaos et à venger ceux qui en ont souffert en devenant à leur tour des agents du chaos, faisant eux aussi des victimes innocentes. Certains hommes, qu'ils aient été responsables ou témoins de ce chaos, tentent de rebâtir ce que d'autres ont détruit et bénéficient de l'aide de bons dirigeants.

Thot, maître en arithmétique et éloquence, rétablit la vue de l'œil endommagé d'Horus, qu'il avait perdu, grâce à sa maîtrise des calculs, à son examen attentif des circonstances et sa perspicacité. Il chercha les 6 morceaux de l'œil que Seth avait jeté dans le Nil avec un filet.

L'œil d'Oujat, qui se traduit par « l'œil préservé », semble indiquer que Thot a empêché Horus de devenir aveugle. La partie manquante serait issue d'un œil de faucon, un symbole courant dans la mythologie égyptienne. Hor en hiéroglyphe signifie « faucon ». Est-ce une allusion au fait qu'il aurait reçu une transplantation oculaire à son époque ou greffe de cornée ? Depuis, il porte encore ces deux appellations, ce qui indique qu'il est entièrement restauré et que cette réhabilitation totale sera préservée pour toujours. 

Une pensée pour Jésus qui a rendu la vue à des aveugles avec de l'argile et sa salive…

L'œil d'Horus, par son histoire, représente la victoire du bien sur le mal. Le regard d'Horus, par son courage a été sacré "Sa Ré"

La légende raconte que l'oeil d'Horus permet de retrouver son chemin, même en eaux troubles. Sa vision préserve des dangers qui se cachent dans les profondeurs des eaux. Il est donc un symbole de chance et de bonne fortune et le bonheur. 

Plus de détails ici : https://www.buzzwebzine.fr/oeil-horus-quelle-signification-spirituelle/

Selon les Anciens Egyptiens, le PI permet de recevoir la nourriture des dieux. Cela m'amène obligatoirement à penser au pis des vaches qui donnent le lait. Quelle coïncidences mystérieuses !

Bon eh bien il n'y a plus qu'à souhaiter que le simple fait d'avoir écrit cet article m'abreuve de bonnes nouvelles et de protection ! 

HOU-HOU

Une dernière information avant de tourner cette page...

"Dans la mythologie égyptienne, Hou est le verbe créateur. Dans cette cosmogonie memphite, il est associé au démiurge Ptah.
Il représente le processus de concrétisation. Dans le livre de l'Amdouat, il se trouve à l'avant dans la barque solaire à côté de Sia qui lui, est à l'arrière. Il dirige la barque solaire de Ré dans son parcours nocturne.
Hou et Sia sont les dieux qui guident le soleil dans ses transformations nocturnes jusqu'à ce qu'il sorte régénéré et victorieux à l'aube.
« Nom des deux pilotes qui dirigent la barque nocturne de Rê dans sa navigation souterraine. Hou est à l'avant de la barque et Sia à l'arrière ».
Les textes des sarcophages, alors qu'ils assimilent le mort à Rê, dévoilent une partie de la cosmologie memphite ; Rê est celui qui a créé Hou et qui est Hou lui-même : « Je suis Rê qui est sorti du Noun [...] Je suis celui qui a créé Hou [...] Je suis Hou »."

https://fr.wikipedia.org/wiki/Hou

Hou-hou (comme dirait le hibou) sont les yeux d'Horus et d'Oudjat, créateur du verbe et du PI. 

"« Je suis Rê qui est sorti du Noun [...] Je suis celui qui a créé Hou [...] Je suis Hou »." Cette phrase me fait trop penser à la phrase qu'à entendu Moïse sur la montagne : "Je suis, j'étais et je serais". 

Je dis ça, je dis rien...