8- Dieu est un renard
Le devoir du pouvoir
Au premier abord, Dieu limite les dégâts en prodiguant les soins nécessaires à la survie de l'humain, sans chercher à s'occuper totalement de ses problèmes. Il semblerait que ses moyens soient insuffisants pour prendre en charge de manière complète les patients humains... (au sens propre comme au sens figuré). En effet, sur une partie assez conséquente de la planète, la terre ressemble à un hôpital de campagne. C'est une véritable médecine de guerre ! Dieu est-il Docteur ? C'est à se demander comment il s'en sort avec ces afflux massifs de victimes ! Les humains ont toujours quelque chose ! S'ils ne sont pas malades, ils ont des accidents et s'ils n'ont pas d'accidents, ils s'entretuent. Entre les catastrophes (naturelles, industrielles, ferroviaires, aériennes, etc.), les tueries de masse et les attentats, Dieu doit avoir une sacré technique pour s'occuper des blessés tout en sécurisant les lieux. Et en plus, avec le nettoyage des dégâts et la levée des nécroses, on peut légitimement poser la question : comment trouve-t'il le temps d'anticiper l'activité des risques ?
C'est ce que l'on appelle : DAMAGE CONTROL. Ce concept fait référence à la technique de la Marine Américaine au cours de la seconde guerre mondiale pour désigner « la capacité d'un navire à contrôler des dommages subis et à poursuivre sa mission pour rentrer au port » (Masquelet, 2013[1]).
Lorsqu'une situation se dégrade, on limite les dégâts en apportant les premiers secours. Ce sont les soins d'urgence. Ils peuvent être physiques ou psychiques, seul ou à plusieurs, en présentiel ou à distance.
En milieu médical, notamment l'infirmerie, on parle de "Golden Hour". C'est un outil de calcul de courtes périodes. Ce concept implique qu'il est nécessaire d'optimiser le temps de prise en charge du patient pour l'orienter le plus rapidement possible vers une structure adaptée sans perdre du temps à réaliser des actes en phase pré-hospitalière qui ne seront pas efficaces. Dans certains cas, il est difficile de contrôler la situation hémorragique du patient en phase pré-hospitalière. Il faut donc l'orienter le plus rapidement possible vers une structure hospitalière qui disposera des équipements adaptés à sa prise en charge.
( https://sofia.medicalistes.fr/spip/spip.php?article587)
Qu'est-ce que le devoir ?
Le devoir est une obligation morale, une loi, un règlement, une responsabilité.
Il y a les devoirs individuels, les devoirs collectifs liés à l'éthique et les devoirs vis-à-vis de la Loi.
Le devoir trouve son origine dans des commandements consistant à suivre un principe universel et inconditionnel d'action. Il est un impératif absolu qui ne dépend de rien, à moins d'être hypothétique.
Le devoir permet de contrôler le pouvoir
Pour éviter les débordements, pour rester dans une norme qui ne fait de mal à personne, le devoir est là. Il permet que tout le monde ait des droits sans subir les conséquences des droits d'autrui.
Exemples : - Quand une personne donne le droit à une autre de l'approcher, elle a le devoir de respecter le règlement de ne pas lui faire de mal ! - Si un policier a le droit de placer sur écoute un citoyen, il a le devoir de ne pas se prendre pour Dieu en lui montrant qu'il sait tout de lui. - Si un groupe médical a le droit de faire des recherches sur l'humain, il a le devoir de respecter une certaine éthique.
On appelle aussi devoir des travaux soumis par des étudiants à leurs professeurs.
Il y a des humains qui se prennent pour Dieu, qui vous créent les problèmes dans le but de montrer que leurs méthodes, leurs médicaments sont les meilleurs. On peut appeler ça PROJET TRAUMALESS. Ils vous provoquent des traumas (ainsi ils les connaissent et peuvent mieux les contrôler), pour ensuite les ôter. Pour leur défense - je vais me faire l'avocat du diable - ils ne ciblent que des gens déjà traumatisés, car leur objectif serait d'enlever n'importe quel trauma à n'importe qui.
Ne plus avoir de traumas ne comporterait-il pas le risque d'être insensible à la douleur donc de se retrouver sans émotions ? À quoi je répondrais : "Tout dépend comment l'expérience est dirigée."
Il est plus qu'évident qu'imposer à une personne le miroir d'un trauma qu'elle a déjà vécu, sans même l'en avertir auparavant va - déjà à l'encontre de la déontologie - la confronter au risque de multiplier par deux son trauma si la loi de la mathématique "- + - = +" ne s'applique pas.
C'est pourquoi, et je m'emploierai à dénoncer toutes les dérives jusqu'à ma mort, ne pas demander l'autorisation éclairée du patient, ne pas lui expliquer ce qui va être fait, comment ça va être fait et les conséquences en risques et en bienfaits possibles est un manquement en éthique et en humanité envers son serment d'Hippocrate que devrait signer oralement et à l'écrit tout Chercheur en sciences et pas seulement pour les Docteurs.
J'ai découvert que la recherche en sociologie, en psychologie ou autre domaine des sciences humaine peut être dangereuse pour celui qui la subit sans le savoir. Le champ peut être infiltré par un pervers ou un psychopathe (au masculin ou au féminin) profitant de son statut, pour chercher officiellement, sur un sujet précis, comme par exemple, sur l'emprise, les croyances, l'obéissance, etc., et officieusement, en profiter sans hésiter, pour faire mal psychologiquement à une cible particulière (celle qui aura le moins de risque d'être cru), avec l'excuse de vouloir vérifier leurs variables, et ça, c'est "dégueulasse".
Je pense qu'il est impératif d'indiquer les limites à ne pas franchir à ceux qui cherchent. Parmi les "chercheurs", j'y mets les réalisateurs (ceux qui font des films) qui usent de jeux de rôles sous un statut théâtrale en s'amusant à faire peur pour créer du suspens ou pire à créer la terreur pour satisfaire les futurs spectateurs devant un film d'horreur. Tout n'est pas fictif.
J'ai souvent entendu dire qu'il ne fallait pas confondre la réalité avec la fiction, mais je peux vous dire qu'il ne faut pas non plus confondre la fiction avec la réalité. À trop croire que tout est fictif sur un écran, on en oublie qu'il y a des faits réels, pour la plupart présentés au journal TV ou dans des émissions de télé-réalité. Et il y a aussi les films tirés de faits réels.
Malheureusement, il y a des scènes que tout le monde croit fictives alors qu'elles étaient bien réelles. Il y a des acteurs et des actrices pris au piège de la fiction, car comme des Cassandre, personne ne les croient puisqu'ils sont au cinéma ou dans une série Netflix.
Renseignez-vous. Cherchez et vous saurez. Mais prenez garde de ne pas devenir une de leurs cibles parce qu'alors, vous serez obligé de fuir pour avoir voulu démasquer la vérité afin de la révéler. À moins de rester sur place et d'observer leur mode opératoire pour avoir peut-être, une chance de les arrêter. Mais si vous n'avez pas une armure mentale pour protéger votre cœur et vos valeurs, alors la dernière étude qu'ils pourraient faire sur vous est celle de la suicidologie ou la fabrique de démons versus criminels.
Ces méthodes de "chasse" où la personne est testée et retranchée jusqu'au boutisme est utilisée autant par les mafias, que des groupes extrémistes, par des pervers que par l'armée.
Celui qui sort de là vainqueur, encore capable d'avoir de la compassion tout en voyant clair dans le jeu de manipulation d'autrui peut trouver sa place dans les forces spéciales !
Si Dieu nous a fait à son image, alors nous devons être aussi rusé que lui, en observant, en s'adaptant, en persistant - (dans la recherche de la vérité, mais aussi de la paix) - dans l'agilité de la rapidité ou de la patience. Nous devons être notre propre guide pour naviguer dans des situations complexes et surmonter les défis.
Quand on est coincé, on doit être flexible et créatif comme le renard (ou comme Dieu).
Quand on nous ment, manipule, trompe, on doit faire preuve de discernement pour voir au-delà des apparences. Pour cela, il est préférable d'être vigilant comme le renard, de ne pas ignorer les signes et de réfléchir avant d'agir.
Les choses peuvent sembler être de telle manière, mais vous savez qu'elles sont autrement. Cependant, courir trop vite pour les dénoncer, c'est prendre le risque de passer à côté des preuves nécessaires dans notre société pour que les mauvais loustics arrêtent d'embêter les gentils qui n'ont pas envie d'être ennuyés mais qui le sont quand même.
Le dernier conseil à prendre est le fait que RIEN N'EST ACQUIS DANS LA VIE.
Dieu peut tout donner et tout reprendre. On peut être le plus grand des héros un jour et le pire salaud le lendemain. On peut avoir été le plus con hier et devenir le plus sage demain.
J'ai loupé toute ma vie jusqu'à aujourd'hui mais peut-être que la dernière partie sera réussie.
Que la force et le courage du renard
soient avec moi !
PS : Pour les derniers passages, je me suis inspirée de la psychanalyse du renard dont j'ai trouvé quelques bons symboles ici : https://www.astucesdefilles.com/renard-signification-spirituelle/